La chambre était faiblement éclairée, Mona était
allongée sur le ventre, silencieuse et immobile.
Il prit le flacon et le pressa à intervalles
réguliers au-dessus des fesses, des cuisses puis des jambes en formant de grosses
perles de crème qu’il prit soin d’étaler sur tout le bas du corps. Il la massa
longuement. Elle ne disait rien, bercée par les mains qui se promenaient sur
son corps.
- Bébé, te souviens-tu des exercices que tu as faits sur la
plage ?
- Oui, dit-elle en émergeant de la bulle où elle s’était
retirée.
- Tu semblais avoir une parfaite maîtrise de ton périnée.
Comme elle ne répondit pas, il ajouta :
- Et bien je vais vérifier que c’est bien le cas, j’aime aller
au fond des choses. Il sourit, cambre-toi et
lève-les fesses légèrement.
Comme elle ne bougeait pas, il lui envoya une petite
tape sur le fessier en reformulant sa demande. Sans rien dire Mona creusa ses reins
en levant les fesses. Elles étaient ainsi magnifiquement mises en valeur, tout
comme l’œillet que l’on distinguait au-dessus de son sexe. L’ensemble était totalement
lisse.
Il la félicita pour la qualité de cette
épilation et lui glissa à l’oreille en souriant que, si à l’avenir il
rencontrait le moindre poil orphelin dans cette zone, il l’ôterait à la pince à
épiler après l’avoir corrigée pour ce manque de soin.
A cette idée, son sexe se contracta sur le champ.
Il pointa ensuite le bout de l’index sur l’anus qu’elle
lui avait présenté afin que la pulpe du doigt soit intimement à son contact, sans
que la phalange ne s'y invite.
Il reprit en la vouvoyant :
- Mademoiselle, quand je vous dirai « contractez ! »,
vous contracterez intensément le périnée pendant que je compte jusqu’à dix. Vous
avez interdiction de le relâcher avant que je n’ai fini de compter. Si jamais c’était
le cas, vous serez punie.
Ce qu’il avait dit n’avait pas de sens, c’était
grotesque et indécent. Mais les papillons qui s’étaient mis à danser dans son
bas ventre, pendant qu’il parlait, l’incitèrent à lui répondre : bien, Monsieur…
- Parfait Mademoiselle, montrez-moi que vous êtes sage et appliquée
aux exercices que je vous donne. Contractez !
En faisant un effort, elle contracta tout son
périnée depuis le sexe jusqu’à cet anneau qu’il pressait avec le doigt. Il
commença à compter lentement.
Mona peinait à maintenir la contraction dont le contrôle
total lui échappait.
Il l’avertit une première fois de ne pas
relâcher puis lui envoya une claque sur les fesses en arrêtant de compter parce
que cette contraction vacillait à nouveau.
- Bébé, tu ne t’appliques pas !!!!
- Si, mais c’est dur !
- Nous allons reprendre au début et si cette fois tu ne fais
pas un effort, tu iras au coin, dit-il en désignant le seul angle de la pièce qui était accessible.
Parce qu’elle chouinait en répétant que ce n’était pas évident, il
lui caressa les fesses et sa voix redevint plus douce : concentre-toi, ma poupée, je sais que c’est
dur mais je veux que tu fasses un effort, d'accord ?
- Oui, répondit-elle après avoir hésité.
- Bien... Contracte !
Dans un intense effort, elle se concentra sur cette contraction qu'elle sentait soluble
dans la brulure qui s’invitait alors entre ses cuisses. En comptant, il l’encouragea
d’abord d’une voix douce et bienveillante mais, quand il sentit un relâchement
sur le bout de son doigt, il se fâcha en lui envoyant à nouveau une claque sur
les fesses.
- Tu es une vilaine, Mona, tu ne t'appliques pas !
Elle le trouvait injuste mais restait silencieuse en écoutant son
sermon.
Il lui ordonna de se lever.
Elle se mis péniblement debout face à lui, honteuse de ce qui se jouait. Elle était nue,
le sexe à la hauteur de ses yeux.
- Mais tu mouilles en plus ? lui dit-il, je te demande de t’appliquer pour tes exercices et toi, plutôt
que de t’efforcer à obéir, tu mouilles comme une petite vicieuse !
Elle était muette, interloquée d’être ainsi sermonnée.
- Ecarte les cuisses !
Elle obéit en regardant ailleurs, le revers de la main sur la
bouche.
- Je ne veux pas que ton sexe salive pendant tes exercices, dit-il en lui serrant les
lèvres de la vulve entre le pouce et l’index, alors je vais le fermer jusqu’à
nouvel ordre !
Il sortit du tiroir de la table de chevet une pince qu’il lui plaça sur le sexe, de manière à en maintenir les lèvres scellées l’une contre l’autre.
Ensuite, il pointa du doigt le coin qu’elle rejoignit à petits pas, de peur que la pince ne glisse…
- Je ne veux pas que ton sexe salive pendant tes exercices, dit-il en lui serrant les
lèvres de la vulve entre le pouce et l’index, alors je vais le fermer jusqu’à
nouvel ordre !
Il sortit du tiroir de la table de chevet une pince qu’il lui plaça sur le sexe, de manière à en maintenir les lèvres scellées l’une contre l’autre.
Ensuite, il pointa du doigt le coin qu’elle rejoignit à petits pas, de peur que la pince ne glisse…
"(..) qu’elle rejoignit à petits pas, de peur que la pince ne glisse…"
RépondreSupprimerVous êtes très Méchant!
Clara
Ne me dites que c'est une soudaine révélation? ;)
SupprimerHé bien Monsieur Méchant, je préférais la première version du coup du périnée lol, vous étiez moins sévère.
RépondreSupprimerBravo pour vos récits.
Héléa
Merci Héléa. La sévérité, c'est comme les claques sur les fesses, ça va et ça vient... ;)
SupprimerMonsieur Méchant, Monsieur Gentil, Monsieur Méchant lol
SupprimerHéléa
Je suis en silence les aventures de Mona et j'attends le nouvel opus avec impatience!
RépondreSupprimerL'impatience est un vilain défaut.... ;)
SupprimerMoi aussi j'attends avec impatience ! Au boulot Monsieur Gentil !
RépondreSupprimerHéléa
Vous savez que tenter de ma donner des ordres fait partie des moyens, assez rudimentaires au demeurant, d'éprouver en retour un vrai désordre sur la partie bombée du corps, juste en dessous des reins, voyez l'idée? ;)
SupprimerHeu... Je crois, oui. Pas fait exprès....
RépondreSupprimerHéléa
J'essayerai bien cette pince. Elle me fait peur mais me fascine et m'excite ^^
RépondreSupprimerIl faut la choisir en prenant le temps des essayages. Trouver la bonne taille, le bon serrage, la matière qui vous plait. Voire la personnaliser en la rendant un chouille plus confortable pour qu'elle soit définitivement la votre...
SupprimerPS: comme je hais ce correcteur automatique qui écrit: un "couille plus confortable" quand j'écrivais "un chouille plus confortable" ;)
Irrésistiblement Méchant ! J'en pince vilainement pour vous ;-)
RépondreSupprimerTant mieux !
RépondreSupprimerEt merci pour avoir attiré mon attention sur les commentaires en cours de ce blog ;)
Je vous en prie, mon plaisir ! Sourire... ;-)
SupprimerMerci pour cette contribution sur votre blog qui me rappelle à ma ligne de conduite !
Supprimerceci dit, les notifications de blogger étaient bien pratiques...
C'est avec ce genre de récits que les Demoiselles se couchent tard, très tard, trop tard ? et qu'elles se font punir ensuite... Vous me ferez un mot d'excuses?
RépondreSupprimerLes méchants ne font jamais de mot d'excuses, c'est contraire à leurs voeux et leur engagement...
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