lundi 30 novembre 2015

L'Erection Paradoxale



Mesdames, je vais vous faire une révélation sur la physiologie masculine qui fait en sorte que notre virilité se dresse en étendard dès le matin, à notre insu même (maaagiiiiie).
J'appelle ça l'érection paradoxale !
C'est mieux que la GDM, non ?
Ben oui, G.D.M. ! ! ! ! La Gaule Du Matin ! ! ! ! (qui a un petit coté républicain)
Je préfère, et de loin: " l'érection paradoxale ".

Certaines vilaines aiment abuser de cette virilité pointée vers le ciel, alors que nous sommes en abîme, vulnérablement endormis.

Elles apprécient grandement caracoler doucement sur notre dard matinal, le souffle régulier contre notre oreille, les cheveux épars dans notre cou, elles font de leur mieux pour ne pas nous réveiller et profiter de notre queue sans notre permission! (Grand Sourire).

Il arrive parfois, sommeillant dans le petit matin, que je reprenne doucement conscience, la queue en " détention " , malaxée par un entrecuisse avide et phagocyte.
Les yeux fermés, j'allonge une main à la rencontre de la chaleur d'un corps posé juste là.
Je flatte une rondeur, tentant d'en cerner les frontières, j'analyse; C'est rond, doux, tiède...
J'allonge une autre main, tout doucement, comme si j'approchais un animal farouche, prompt à déguerpir.
Je caresse et inspecte les contours offerts, j'emprunte les courbes que je reconnais soudain : c'est un cul ! et quel cul !

SON cul qui ondule alors qu'elle m'engloutit de haut en bas.
Elle est empalée, s'agite en petits coups de reins, fait des ronds de bassin, son petit puit de femme comme vissé sur ma queue, pétrit ma chair de l'intérieur dans une lente frénésie.
Puis vient l'instant précieux ou elle implose...


J'ouvre alors les yeux, mes mains arrimées à ses hanches qui voguent sur moi, et la voyant ainsi, je me fragmente avant de fondre longuement en elle.


dimanche 22 novembre 2015

Parce que c'est elle, parce que c'est moi...



Bon, j'avais prévu de vous saouler un peu avec une question du genre: l'esprit doit il s'envisager en dehors du corps et de toute nécessité? en opposant Descartes à Spinoza mon chouchou.
Et puis voilà qu'une vilaine me dit: "MM, s'il te plait, parle-nous de fessées et je te montre mes fesses !"
J'en ai pas dormi de la nuit.
Et finalement, j'ai craqué. 
Bon, Spinoza, Descarte, boudez pas les gars, hein?


Tout commence, là.

Je l’avais déjà punie parce qu’elle l’avait mérité.
Ne me demandez pas pour quelle raison, cette garce les accumule tellement, que je vais finir par y laisser un ou deux métacarpes.

Je lui avais demandé de rester au coin pour purger sa peine afin de repartir sur des bases saines.
Et elle, elle multipliait les voltefaces en réclamant un câlin par-ci ou des bisous par-là (voyez un peu de quelle vilainie cette garce est capable pour me mettre genoux à terre !!!).

Je l’avais recadrée plusieurs fois.
A chaque fois un peu plus sévèrement mais rien n’y faisait, elle n’appliquait jamais mes consignes dans leur totalité malgré les menaces que je proférais.

Alors j’ai fini par l'attraper par les cheveux en la trainant jusqu'au lit.
Elle était nue et tous ses cheveux étaient rassemblés dans mon poing que j'ai enfoncé dans le matelas comme un pieu, immobilisant ainsi sa tête. 
Ses genoux étaient sur le sol.
Sa capacité de mouvement était quasi-nulle autour de l’axe du poing.
Je lui ai collé une raclée monumentale au martinet puis à la ceinture.
Ensuite, sans un mot, je n’ai eu qu’à pointer du doigt le coin pour qu’elle le rejoigne immédiatement, sans broncher.

Après quelques minutes, je me suis approché pour poser la main sur son cul brulant.
Quand ma main est descendue vers son entrecuisse, elle a honteusement fait un léger écart pour éviter ma fouille.
Je l’ai recadrée sur le champ et elle a obéi en écartant les cuisses.
J’ai repris mon exploration et découvert l’objet de sa gêne.
Après la raclée terrible que cette vilaine avait endurée en gémissant de douleur, son sexe coulait abondamment avec indécence comme à un aucun moment il n’avait salivé jusque là…

J’ai aimé infiniment ce qui s'est joué dans ce moment et l’intransigeance qui en a tracé le chemin.
Je m'explique.
Mon intransigeance n’est soluble dans pas grand chose, quand je suis inspiré par une petite garce.
Il en va de la crédibilité de tout « ça» ainsi que du lien unique et précieux qui nous unit.

Du coup, j’élève ma sévérité à mesure qu’on me désobéit.
Ce qui, qu’on y réfléchit bien, peut pousser une petite masochiste et un Méchant dans une spirale vertigineuse.
Car quand il lui dit ce qu’il lui en coutera si elle malmène ses exigences, quand après avoir hésité, elle se lance dans l’ascension des limites qu'il lui a fixées, parce qu’elle veut le rencontrer au plus proche de son autorité, alors... alors elle lui ouvre grand la porte au Méchant... voyez l'idée?

Bien entendu, je ne suis pas dupe, je sais qu’elle me cherche, je sais que ce qu’elle désire plus que tout au monde, c’est que je lui résiste et me dévoile dans toute mon intransigeance et ma sévérité.
Parce que l'on corrige comme on aime et que celles qui ne se sentent pas corrigées ne se sentent pas aimées.
Et aussi, parce que ce genre de vilaine est généralement rompue à mener tout son petit monde et qu'elle n'attend qu'une chose, c'est que vous mettiez fin à cette fatalité.

Et moi, fort de cette petite vérité, je me libère, j’explore ce Méchant qui m’habite (attention au vilain jeu de mot, hein?), j’expérimente sa sévérité, sa fermeté, son intransigeance et sa capacité à ne pas s’apitoyer devant ce qu’il fait endurer à cette poupée aventureuse.

Parce que, ne vous y trompez pas, elle paye un lourd tribut pour ses voltefaces et son désir de me "trouver".
Les corrections qui lui font écho ne sont pas indolores pour elle, bien au contraire, elles peuvent la percuter jusqu’aux larmes.

Quant à moi, j’ai beau être un affreux de la plus méchante des confréries, je n’en reste pas moins conscient de ce qui se joue et sensible à ce que je lui inflige.
Je ressens dans ma chair qui se clive, une part de moi qui tente de la raisonner avec un réquisitoire ou un sermon quand une autre, plus sombre, s’enfle de voir cette garce continuer à me résister.

Et, parce que ce qui est "dit" doit être fait, parce que ce qui est "fait" doit être juste, parce qu’il en va de la crédibilité de tout « ça », nous partons, attachés l’un à l’autre, vers cette terre inconnue, à notre propre rencontre.

Bien entendu, elle finit par craquer (Grand sourire).  
Et, quand elle s’est suffisamment abreuvée à la source de mon courroux inoxydable, quand elle se sent comprise et aimée pour ce qu’elle est et ce qu’elle aime, elle lâche prise. 
Totalement.

Elle se blottit contre moi pour que je la câline longuement. 
Et moi, le nez dans ses cheveux, les lèvres dans son cou, les mains aimantes et caressantes, je la cajole et la berce.

Un moment infiniment doux, prélude à une évidence plus animale.
Parce que c’est elle, parce que c’est moi…

mardi 17 novembre 2015

L'Existence précède l'Essence



« Je pressentais la religion, je l’espérais, c‘était le remède; me l’eût-on refusée, je l’eusse inventée moi-même. On ne me la refusait pas. Élevé dans la foi catholique, j’appris que le Tout-Puissant m’avait fait pour sa gloire, c’était plus que je n’osais rêver. Mais, par la suite, dans le Dieu fashionable qu’on m’enseigna, je ne reconnus pas celui qu’attendait mon âme: il me fallait un Créateur, on me donnait un Grand Patron… »

Et c’est là que, mortecouille, Sartre bascule dans l’athéisme, en gros, tu vois ?

Je suis pas mégafan de Sartre (que je ne connais pas beaucoup d'ailleurs), je suis plutôt supporter de Camus, s'il fallait choisir son camp.
Mais je trouve ses mots admirables et je partage sa vision quand il dit que l’existence précède l’essence.
C’est qu’elle a de la résonnance cette vision, tu vois ?

Elle nous convoque pour nous rappeler que notre ADN est à quelque chose près le même que les vertébrés qui partagent notre petite planète perdue dans 100 milliards de galaxies.

Ce qu’il nous dit là, le Sartre, c’est que nous partageons le même ticket gagnant que les autres animaux de la terre et que notre essence humaine n’est pas un dû !
Non, notre essence humaine, c’est comme un livre dont il nous faut écrire chaque jour les pages à l’encre de nos actes.

Et là, je m'écris Yes Jean-Paul ! 
Je suis libre, libre d’aimer ou de haïr.
Seuls mes actes resteront, précieux ou odieux.

Je ne dois pas me défiler car ce n’est pas un Grand Patron qui décidera pour moi comment élever mon existence.

Devenir un Homme...

Mais si je me considère comme athée, je reconnais qu’il m’arrive parfois de me comporter comme un pauvre pêcheur...

Par exemple je me rappelle d’une fois où j'avais niché deux boules de geisha entre ses cuisses, happées par son sexe qu'une délicate incision dans ses collants avait rendu accessible.

J'avais monté une ligne d'environ 9 mètres fixée à ce leurre doré que son sexe avait englouti.
Seul l'anneau qui pointait entre les lèvres de son sexe trahissait la présence de ces boules japonaises avec lesquelles je l'avais appâtée.
Et il était solidement noué à ma ligne.

Comme un vieux loup de mer, assis sur un épais tapis, appuyé contre le mur, je jaugeais ma prise de l'autre coté de la pièce.
Elle était encore loin... à quatre pattes, tête baissée, regard en coin, nue et gainée par l'unique filet de ses collants.
En tirant sur la ligne, je la manœuvrais avec douceur et fermeté.

Puis vint le moment où je l'ai sentie prête.
Alors, doucement, j’ai ramené la ligne, centimètre par centimètre, mètre après mètre en surveillant le déhanché qu'elle avait quand elle se rapprochait, fébrile et vulnérable, les joues en feu, le souffle altéré par la lutte.

Et, quand je n'ai plus eu de ligne à ramener, elle était là, tout contre moi, la tête posée dans le creux de mon cou, immobile.
Je sentais sa respiration sur ma clavicule, je percevais ses gémissements.
J'ai enfoui mon visage dans ses cheveux pour y trouver son cou et son odeur.

Elle ne bougeait plus.
J'ai enlevé le leurre enfilé entre ses cuisses qui salivaient avec abondance...

Je l’ai remise à l'O, je suis un pauvre pêcheur mais j’essaye d’être un homme bien…





dimanche 8 novembre 2015

Un peu de physique quantique dans un monde de brutes


Bon aujourd’hui, Monsieur Méchant passe à la vitesse supérieure puisqu’il va vous parler de la fameuse expérience du Chat de Schrödinguer (Schrödinguer étant l’un des pères de la physique quantique). Cette expérience vise à montrer la difficulté d'appréhender les lois de la physique quantique dans le monde qui nous entoure.
(Lecteur, s'il te plait ne pars pas ! Je te promets qu'il y aura du cul pour finir)

Pour bien comprendre cette expérience il faut comprendre la différence entre la physique quantique et la physique classique.
Autant la seconde est assez facile à comprendre, puis qu’elle considère qu’à chaque instant, un objet est à un endroit et dans un état donné.
Autant la deuxième est plus destabilisante parce qu’elle considère que l’emplacement d’un objet ou son état suivent une fonction d’onde avec des amplitudes de probabilité qui font qu’il peut potentiellement être à tous les endroits et pire être dans des états différents au même instant ! 
C’est le fameux principe de superposition qui est perturbant à concevoir dans notre monde macroscopique.
(Oui, prend un verre d’eau fraiche mon zami, Monsieur Méchant n'a pas fini!)

L’expérience (théorique et fictive) du chat de Shrödinger consiste à mettre un chat dans une boite avec un atome radioactif qui a 50% de chance de changer d’état et d'émettre de la radioactivité et 50% de chance de rester intact.
Il y a dans la boite un mécanisme (qui ferait bondir la SPA, Christine Boutin et le dessinateur Geluck) avec un compteur geiger qui, quand il détecte de la radioactivité, libère un marteau qui casse une fiole contenant du poison qui tue la chat.
(Bon, pas le genre de boite qu’on trouve sur ebay, tu vois?)

En physique classique, avant d’ouvrir la boite, on dira que le chat a 50% de chance d’être mort et 50% de chance d’être vivant, vous voyez ? Il est soit l’un, soit l’autre.

Et bien la physique quantique, cette salope, ne dit pas ça ! elle dit que le chat, AVANT d’ouvrir la boite, est vivant ET mort à la fois!

Absurde ? ben non, les équations de Schrödinguer en attestent.
L'état (vivant ou mort) du chat ne dépend en fait que de l'état de l'atome d'Uranium.
Or la physique quantique affirme que cet atome est un être quantique auquel est applicable le principe de superposition: les particules atomiques peuvent exister dans plusieurs états superposés et simultanés. Huhuuuuuuuuuuuuuu ?

(Mortecouille, c’est quoi ce délire ? would you like a spédifen ?)

Cependant l’observation qu'on fait quand on ouvre la boite est une interaction avec la particule et toute interaction fait cesser l’état de superposition, il y a une décohérence !!! 
Donc quand on ouvre la boite, le chat est bien mort ou vivant !

C’est un truc de fou, car c’est l’observation qui crée le résultat de l’expérience: Responsable ET coupable ! 

Et là où ça devient dingue, c’est qu’en fait si l’observation brise la superposition : « vivant » ou « mort » pour ne retenir qu’un état, les deux états subsistent quand même dans des univers parallèles.
Ainsi, il y aurait une infinité d’univers qui ne communiqueraient pas entre eux et dans lesquels nous existerions d’une manière différente !!!! 
C'est "ça", la théorie des univers parallèles !

(Par exemple, ne t'en déplaise, il y-a parmi l'infinité de ces univers possibles, un univers où tu es pacsé avec Monsieur Méchant ! oui, l'infini fait peur parfois...)

Et c’est là que m’est revenue cette expérience dans un boudoir troglodyte de Paris.
Elle portait un corset et des collants que j’avais pris soin de d'ajourer au niveau du sexe et des fesses. J'avais soigneusement fait sauter quelques mailles élastiques pour rendre ses orifices accessibles et disponibles.

J’avais passé un collier autour de son cou à l’anneau duquel une laisse était clipsée.
J’avais niché entre ses fesses un rosebud solidaire d’une chainette au bout de laquelle se balançait une petite clochette.

Ensuite, je lui ai murmuré à l’oreille : « bébé, tu files discrètement à 4 pattes jusqu’au bar ».
Sur ce, je lui ai mis la sangle de la laisse dans la bouche et suis allé me commander un verre.
Lentement, pour me rejoindre, elle s’est engagée pour traverser le salon, entre les hôtes assis sur des fauteuils ou des méridiennes.
Très appliquée, elle essayait de faire sonner le moins possible cette honteuse clochette.

A l’arrivée, je l’ai faite monter sur le comptoir du bar, cambrée, immobile, la tête droite et la sangle de la laisse dans la bouche.
J’ai passé la main entre ses cuisses. Elle mouillait. Abondamment.

Et bien maintenant que j’y pense, un être quantique aurait fait la traversée dans un double état, en mouillant et sans mouiller! C’est le principe de superposition.

Et bien, elle, elle ne faisait que mouiller depuis le tout début de la traversée, tiens ! L’intérieur de ses cuisses m’en était témoin.

Ce n’était donc pas un être quantique. Non, elle, c’était autre chose.

Une étoile, peut-être…