Elle faisait ces exercices avec application, son corps tout
entier en témoignait.
Quant à son visage, il me racontait tous les efforts qu’elle
faisait pour écarter les cuisses, tout en maintenant l’inconfort que je lui
avais imposé.
Une fois le décompte terminé, je lui permis de mettre la
main droite sur son sexe tout en gardant la main gauche posée sur le genou.
-
« Bébé tu as été sage, tu peux jouer avec
ton sexe pendant 60 secondes. Par contre, je ne veux pas t’entendre gémir et ton
souffle ne doit pas trahir ton excitation, sinon tu retires ta main ».
Mona s’appliquait à ne pas trahir ses émotions mais sa bouche
qui grimaçait imperceptiblement me montrait qu’elle était très excitée.
-
« Tu es une bonne petite, retire ta main et
repose-la à sa place, sur ton genou »
Elle reprit sa position et moi son exercice en la guidant à nouveau d’une
voix concernée.
Mes instructions se suivaient, entrecoupées par des silences
quand je lui imposais l’immobilité :
Serre les cuisses. Frotte-les doucement, l’une contre l’autre,
en contractant ton périnée. Ramène les genoux contre ton torse. Lève les jambes
en pointant les pieds vers le ciel. Ecarte les cuisses. Ne bouge plus. Pose les pieds à terre
et lève le bassin afin que ton anus et ton sexe soient exposés. Ecarte les
lèvres de ton sexe …
Ensuite, ce fût à nouveau le moment de sa récompense.
-
« bon travail, bébé ! tu peux remettre ta
main sur ton sexe et jouer avec, tu l’as bien mérité. Cette fois, tu peux gémir
mais tu ne bouges pas et, faut-il que je le précise, tu ne jouis pas ! »
Elle avait honte de la situation mais ses yeux me remerciaient
pour cette friandise alors que sa main baisait déjà sur son sexe qu’elle
malmenait avec indécence, en l’ouvrant ou en le frottant.
Elle dut refaire un dernier exercice avant que je l’autorise
à jouir parce qu'elle me l'avait demandé silencieusement comme une petite bien éduquée : en levant la main !