Je l’embrasse en serrant sa tête contre mon torse, mes doigts
creusent sa chevelure et ma bouche mange son cou et sa nuque. Je suis aux anges qu'elle m'ait rapporté la balle plusieurs fois avec perfection et qu'elle semble y avoir pris goût.
Elle s’est appliquée même si elle s’y est reprise à trois fois avant que l’exécution ne soit parfaite, les zébrures sur son cul en témoignent.
Elle s’est appliquée même si elle s’y est reprise à trois fois avant que l’exécution ne soit parfaite, les zébrures sur son cul en témoignent.
(Il en est de mes exigences comme des choses qui me tiennent
à cœur. J’en ai une vision très personnelle, souvent détaillée à l’excès, je le
sais.
L’envie de tout contrôler m’habite au-delà du raisonnable...
Du coup quand j’entre dans l’arène, c’est comme si je remettais
en jeu le pouvoir que j’ai sur elle.
Forcément, j’ai intérêt à ne pas exiger l’impossible, il en
va de mon existence même dans tout « ça ».
J’aurais beau avoir tout obtenu d’elle hier, si je trébuche
aujourd’hui, c’est comme si la mort m’arrachait à ce cocon que nous tissons ensemble avec le fil de nos envies.
J’exige et elle doit Obéir. Il ne peut y avoir de dérogation ni d’entredeux.
Exiger en risquant « la mort ».
Risquer qu’elle refuse et que devant mon entêtement, elle
s’entête aussi.
Risquer que tout ça finisse mal parce que, en moi, il y a un
gamin, petit roi soleil qui n'a pas su trouver le chemin de la petite fille sage, en elle...
Quant à mon exigence, elle est d’autant plus forte qu’il faut satisfaire la multitude de ces presque riens qui l'habitent.
Alors, je dois être très clair sur ce que j’attends et elle
doit être très appliquée dans ce qu’elle exécute.
Et sur ce chemin non négociable que je trace, elle me
livrera son interprétation au plus proche de mes désirs et des siens, en cherchant l'accord
parfait.
Et moi, je commenterai sur son corps ses différentes tentatives avec une aimante sévérité, jusqu'à ce que nous atteignons la perfection...)
- " Maintenant que tu m’as montré que tu étais un
petit animal de compagnie bien dressé, je vais faire ta toilette …. "
En disant ces mots j'empoigne ses cheveux et la guide à
4 pattes vers la salle de bains jusque sur le carrelage de la douche.
Je ramène ensuite le balai éponge et le seau que je
remplis d’eau tiède et de savon liquide.
Avec le pommeau de la douche j’arrose cette
petite chienne immobile et Obéissante en dirigeant le jet d’eau sur son cul, ses reins,
son sexe et sur sa tête aussi.
L’eau coule abondamment sur tout son corps ainsi que le long
de ses cheveux et sur son visage.
Elle grogne mais ne dit rien, le martinet n’est pas loin, posé sur la vasque, elle le sait.
Je plonge ensuite l’éponge épaisse dans la mousse
du seau et je commence à frotter son corps à 4 pattes en tenant le balai à deux mains.
Je frotte son dos, ses fesses, je lui demande de se déplacer
et d’écarter les cuisses pour que l’éponge au bout du balai astique son sexe et
tout son entrecuisse.
Je la positionne ensuite sur le dos, les cuisses ouvertes et
je savonne les seins, le ventre, les jambes en insistant sur le sexe qu'elle me présente honteusement pour la toilette.
Elle a fermé les yeux, comme bercée par le crépitement
de la mousse que j’étale sur tout son corps, à mesure que je frotte.
Ensuite, je lui dis de s’assoir en tailleur dans la douche et lave son épaisse chevelure, mèche par mèche.
Quand je l’ai suffisamment frottée et astiquée, j’attrape à
nouveau la douchette et j’entreprends de la rincer longuement pendant qu’elle
se tient debout, les jambes écartées.
Je mouille abondamment sa chevelure afin de diluer la mousse
jusqu’à ce que ses cheveux accrochent mes doigts quand je les frotte, m’indiquant
que je peux rincer le reste de son corps.
Mes mains s’attardent sur chaque millimètre de sa peau en
descendant vers ses fesses, son anus et son sexe où j’insiste avant de réaliser
que ce n’est pas le savon qui lubrifie l’intérieur de ses lèvres.
Alors, je reprends ma progression et m’applique à bannir la
mousse du reste de son corps avant d’entreprendre de l’essuyer longuement avec une
serviette en coton.
Nue et silencieuse, elle m’observe passer la serviette sur
sa peau et dans ses cheveux jusqu'à ce que je lui dise:
- " Tu démêleras tes cheveux plus tard, maintenant, il
est temps que je m’occupe de ton sexe !"
J’attrape ensuite le petit pinceau posé sur la console et me
dirige vers le séjour.
Elle se met à 4 pattes et, comme un petit animal bien
dressé, me suit sagement vers la grande table…
Et c'est alors que le Méchant se transforme en véritable artiste peintre et nous donne à sa manière une revisite du célèbre tableau d'Edgar Degas "Après le Bain".
RépondreSupprimerEuh... Par contre, le "tu te démêleras les cheveux plus tard", on voit bien que vous êtes pas une fille. Elle va ressembler à rien Mona, avec les cheveux tout emmêlés.
Ça doit porter un nom que je ne connais pas mais j'aime beaucoup ce que vous notez dans vos parenthèses à chaque fois...
Oui, je démêle rarement les cheveux, généralement, soit je les emmêle, soit je les tire !
SupprimerUne préférence?
Oui j'ai une préférence Monsieur et comme vous me le demandez, je vais vous répondre (je suis polie).. . Je préfère qu'ils soient tirés. Parce que si on m'enmêle les cheveux après je ressemble à une petite lionne indomptable et cela contraste (un peu trop) avec ce que je suis devenue lorsqu'il a joué avec mes cheveux : une poupée Obéissante.
Supprimerça tombe bien, c'est un peu ce que je fais le mieux: tirer les cheveux !
SupprimerC'est pour quoi le petit pinceau ?
RépondreSupprimerLe pinceau, c'est pour la suite, je suis prévoyant, organisé et artiste à ma façon....^^
SupprimerEt c'est quand la suite ?
SupprimerOui c'est quand la suite ?
SupprimerFaut que je retrouve le pinceau...
SupprimerDans votre main. Vous venez de le prendre sur la console... Moi je dis ça, je dis rien mais vous manquez quelque peu de concentration Monsieur Méchant. Elle vous ensorcelle, Mona :)
SupprimerAu moins, il y en a une qui suit ! Après vous devez quand même bien avoir une idée de ce qu'on peut faire avec un pinceau fin et soyeux, non?
SupprimerOn peut faire plein trucs avec un pinceau fin et soyeux. Ça dépend du degré de perversité du Monsieur en question...
SupprimerJe vous donne des pistes sur êtes perdu dans votre histoire les filles complèteront.
Utiliser le pinceau pour des carresses cibés sur son sexe
Utiliser le pinceau pour son utilité première et donc peindre sur le corps de Mona.
Demander à Mona de le tenir en bouche et de faire les poussières des objets minutieux
Lui mettre dans son intimité ou dans le creux de ses fesses (ça dépend de la taille...) Pour qu'elle écrive je suis une petite artiste Obéissante à la peinture sur une feuille et que vous réussissez à le lire correctement.
Voilà me remercier, c'est cadeau :)
Bonne écriture de suite, Monsieur.
J'aime l'idée de dépoussiérer des objets minutieux de façon appliquée et gare à elle si il tombe de sa jolie bouche.
Supprimerou alors vous savez comme les jeux d'archéologue qu'on peut acheter. Au départ un bloc et on passe le pinceau de chercheur pendant des heures pour trouver enfin... un os de mammouth o_O . la loose!
J'espère que vous y cacherez autre chose, comme une p'tite clef qui servirait à lui enlever la ceinture de chasteté que vous lui aurez mise quelques jours auparavant. Méchant ! Méchant et pervers!
Mais vous êtes d'abominables petites vicieuses, toutes les deux !!!!!
Supprimerje constates quand même que la perversité a des dénominateurs communs ....
" Risquer qu’elle refuse et que devant mon entêtement, elle s’entête aussi.
RépondreSupprimerRisquer que tout ça finisse mal parce que, en moi, il y a un gamin, petit roi soleil qui n'a pas su trouver le chemin de la petite fille sage, en elle..."
Pas mal, pas mal, pas mal du tout ! :)
Il y a unique point de rencontre, barycentre de toutes les forces en présence... et c'est en le trouvant que ce qui semblait chaotique devient miraculeux...
SupprimerAmen
(Evangile selon MM)
Poétique, joli, tentateur. Très belle plume. J'ai beaucoup apprécié ma lecture. Merci.
RépondreSupprimerBienvenue à vous sur ma petite planète ! et merci pour ce retour ;)
SupprimerJ'ai loupé le train qui mène au pays des songes. Il est tard et Morphée s'est fâché m'abandonnant sur le quai de la nuit avec "Insomnie" et "Envie". Je vagabonde aux côtés de la première, je me balade ici puis là. Je m'arrête devant la porte où il est écrit "La toilette" et je pousse la porte, intriguée par la faute à l'anglaise.
RépondreSupprimerLa pièce vide est pleine de mots qui s'agitent en frissons sur ma peau. "Envie" accourt...
Je songe à faire couler un peu d'eau dans ma baignoire pour frotter sur ma peau et surtout sur mon sexe l'éponge de maçon toute neuve que je possède devant le témoin clignotant d'une caméra mais il est très tard et j'entends siffler au loin le prochain train à destination de mes rêves.
Demain sera moins tard... Si un Méchant exprimait le désir de voir, la petite déraisonnable lui montrera...
Le nettoyage est une une chose qui se pratique avec de bon outils, Une grosse éponge et un pinceau permettent d'accomplir des merveilles !
RépondreSupprimerj'aimerais notamment beaucoup voir ce qu'une grosse éponge de maçon est capable de faire en glissant sur un entrecuisse à astiquer consciencieusement... grand sourire