Cela
faisait deux heures que Mona était chez moi.
Elle
avait suivi mes consignes à la lettre et n’avait pas dit mot en arrivant, juste
un : « bonjour Monsieur » quand je lui avais ouvert la porte.
Elle m’avait suivi jusqu’au séjour et s’était dénudée après quelques
hésitations parce que je m’étais assis sur le canapé en disant : « Mademoiselle,
suivez donc vos instructions pour commencer ».
Je lui
avais ensuite pris la main pour l’attirer vers moi avant de me lancer dans une
longue inspection en la manipulant comme un mannequin dont on chercherait les
imperfections.
Ses
dents maltraitaient sa lèvre inférieure, ses yeux me fuyaient et moi, tout à
ma revue, je commentais la qualité de son épilation, celle du vernis sur ses
mains, tout comme l’odeur de sa peau.
Je
pressais l’intérieur de ses cuisses pour en forcer l’ouverture, j'appuyais sur
ses reins pour qu’elle se penche. Je lui faisais prendre toutes sortes de
positions, inconfortables et indécentes, en la menaçant de la châtier si jamais elle bougeait et nuisait à la précision de mes contrôles.
Elle
ferma les yeux avec un sourire de gêne quand je lui fis remarquer les poils que j’avais
trouvés sur le chemin de son périnée et entre ses fesses.
Il n’y
en avait que deux ou trois mais j’insistais avec mauvaise foi sur cette non conformité
comme si elle mettait en cause l’équilibre du monde.
En
guise de punition, je lui mis dix claques sèches sur le cul avant d’exiger
qu’elle écarte les fesses en se penchant en avant pour que j’élimine moi-même ces poils presque orphelins avec une pince à épiler. Elle était rouge de honte.
Ensuite,
elle s’appliqua à faire ce que j’avais défini.
Parce
que j’avais émietté une biscotte sur le sol, elle pris soins, accroupie et en
ondulant du bassin, de promener le pinceau que j’avais invité dans son anus en rassemblant
les miettes comme un petit troupeau en transhumance vers la pelle que je tenais
posée sur le sol.
Tous ses muscles étaient sollicités avec cette unique ambition pastorale.
Elle était infiniment belle, on pouvait voir se concentrer, dans ses yeux et la tension de sa bouche, les plus belles émotions du monde: l'excitation, la colère, la gêne, l'envie, la douleur et la liberté...
Tous ses muscles étaient sollicités avec cette unique ambition pastorale.
Elle était infiniment belle, on pouvait voir se concentrer, dans ses yeux et la tension de sa bouche, les plus belles émotions du monde: l'excitation, la colère, la gêne, l'envie, la douleur et la liberté...
Maintenant je l'observe sur la terrasse, les tétons plaqués sur la vitre
pendant qu’elle y étale l’eau savonneuse que seins ont prélevée dans la
bassine qui est à ses pieds. On entend le grelot qui tinte entre ses
cuisses et le son de la chainette qui serpente sur le carrelage en
accompagnant ses mouvements.
Mona
évite mon regard alors que je cherche le sien mais la raideur de sa poitrine et le masque sur son visage
parlent pour elle: elle est excitée.
Quant à moi, je me sens tellement à l’étroit dans mon pantalon que je n’ai qu’une envie : l’ôter !
Il faudra que j'attende, il faut d'abord que je la récompense...
Quant à moi, je me sens tellement à l’étroit dans mon pantalon que je n’ai qu’une envie : l’ôter !
Il faudra que j'attende, il faut d'abord que je la récompense...
Hé bien hé bien. Je ne connaissais pas cette façon de faire le ménage, ça économise les chiffons et la serpillère. Vous avez de l'imagination, comme d'habitude.
RépondreSupprimerOui, sauver la planète c'est un peu mon credo !
SupprimerJ'utilise toutes les ressources naturellement disponibles. L'empreinte Carbone de Mona est vierge à défaut de celle de ma main ! :p
Oh la Vilaine petite perverse... j'espère qu'elle a été punie pour tant d'indécence... Mouiller pendant les heures de travail ! On aura tout vu, vraiment :p
RépondreSupprimerOui, mouiller voire se masturber au travail à l'insu de ses collaborateurs, c'est moche ! pourquoi ça vous arrive? :p
SupprimerJe crains que oui...
SupprimerEt bien, je propose qu'on relègue le burn-out au rang des curiosités et qu'on lance le club du "secret masturbation at my workplace".
Supprimervous serez membre d'honneur ! :p
Le rôle de " mes deux seins du travail" vous va très bien ! les salariées se sentent si maltraités par les RH .
Supprimer:)
Mes deux seins?
SupprimerPourquoi pas... je ne suis pas difficile, tant qu'on me laisse jouer avec une table avec étriers et du matériel de bonne facture... ;)
Fi des Princesses, voilà qui donne envie de se transformer en Cendrillon, à la fois petite souillon méritant réprimandes et punitions pour son inacceptable laisser-aller, et soubrette au service de son Méchant parâtre ! Mmm...
RépondreSupprimer(Trif, s'il a conservé la baguette magique, n'a pas osé s'en servir par le manche, rire ! Vous êtes diaboliquement pervers Monsieur Méchant ! Je vous décernerai bien le DSK d'or pour votre œuvre, sourire
je vais peut être ouvrir un stage d'apprentie cendrillon en immersion totale !
SupprimerJ'ai des idées de cours collectifs...
Vous voulez dire, de cours correctifs, non ? :-p
Supprimeroui mais juste pour celles qui sont en difficulté...
SupprimerLa récompense ou le butin...
RépondreSupprimerFinalement, ce qui suscite intrigue et intérêt dans votre récit Monsieur, c’est précisément tout ce que vous n’y avait pas (encore) écrit...Mais qui se devine à votre esprit savamment barbare...
Peut-être... et que devinez vous bien caché dans mon méchant esprit...? ;)
SupprimerJe vous imagine passer un, puis deux doigts, entre ses cuisses pour presser son intimité, en tester l’humidité, la découvrir ruisselante et vous en réjouir. Puis, tout en lui enjoignant silence et immobilisme, les y introduire avant de la pénétrer farouchement de votre arrogante virilité...
SupprimerNe me dites pas que vous n'avez pas en tête tous les exercices que l'on peut lui imposer avant de convoquer l'arrogance d'une virilité.... ;)
SupprimerIl m’a semblé que vous m’interrogiez quant à ce qu’il y avait dans votre tête et non la mienne...
RépondreSupprimerD'une manière générale, j'essaie de ne pas précipiter sur mon arrogance... et passer avant en revue tous les "presque rien" qui change tout, pourtant... :p
SupprimerC’est bien ce « pourtant » que j’ai cru entrevoir en lisant votre dernière phrase...
SupprimerPourtant...?
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