lundi 21 décembre 2015

Je file un mauvais coton


Je file un mauvais coton.
L’autre jour par exemple, je l’ai lavée après qu’elle se soit délassée dans une baignoire jacuzzi.
Je l’ai ensuite sortie du bain et essuyée longuement, des épaules jusqu’aux pieds, en prenant tout mon temps malgré un plaisir coupable.

Pire ! Alors qu’elle était allongée sur le lit, je l’ai couverte de baisers comme si ma vie en dépendait. J’ai ensuite étalé sur le corps de cette petite princesse un lait parfumé, les mains en amour de la peau sur laquelle elles dansaient.

Je sais, j’ai honte, j’ai manqué à tous mes devoirs et en premier lieu au « Code du Méchant » , ce phare qui nous guide pour maintenir le cap, quand une tempête de douceur s’abat sur notre barcasse, nous inonde de ses embruns romantiques et qu'il ne nous reste plus qu'à écoper, à la sueur de ce que nous avons de plus sombre.

Je reconnais avec contrition que je me suis couché contre elle, alors qu’elle était nue sur le ventre. Mon bas-ventre, en orbite autour de son cul, oscillait comme un astre déchu autour de son étoile.

Et là, comme un malheureux sous hypnose, le nez dans son cou, j’ai joué avec ses cheveux comme on joue à la poupée, en les passant derrière l’oreille, en dégageant sa nuque pour que ma bouche s’abandonne dans son cou.
Navrant. 
Désespérant.
J’espère que personne ne m’a vu.
D’ici à ce qu’on me foute un blâme et qu’on me rétrograde au rang de simple « Vilain », y-a qu'un pas...

On n’est pas suffisamment péparé aussi. 
On est mal formé pour côtoyer ce genre de poupée qui se blottit contre nous comme si nous étions leur unique refuge pour la nuit.
Elle vous immerge sous ses baisers, se refugie contre vous avec une désarmante fragilité et là, comble du désenchantement, vos bras l’enlacent, une main sur sa tête et l’autre sur son cul encore chaud, réduisant ainsi à néant trente années dédiées à la méchanterie et ses fantaisies

Cet état second a duré quelques secondes ou quelques années, je ne m’en souviens plus.

Je sais juste qu’en reprenant mes esprits qu’elle avait outrageusement embastillés, je lui ai ordonné de prendre une position et de ne plus bouger.
Ensuite, et bien je l’ai heu... sodomisée (elle avait obtenu son diplôme la veille !). Il fallait que je reprenne le contrôle. Quand on tombe de cheval, il faut tout de suite remonter (oui, la métaphore n’est pas galante mais on est méchant ou on ne l’est pas !).

pfffff, je reviens de loin, vous savez !



48 commentaires:

  1. Ah ouais je connais ça... Je ne veux pas vous affoler mais c'est suuuper mal barré sur la méchanceté croyez en mon expérience. Alors si elle est venue pour ça, bougez vous l'cul ! :p

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    1. Aaaah, je le pressentais ! Faut que je consulte d'urgence !

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    2. Euh... je dois vraiment signer ?21 décembre 2015 à 16:32

      Ben si la vilaine a "méchamment" morflé la veille, c'est quand même chouette qu'elle soit bichonnée comme elle le mérite au réveil tu crois pas ? :D
      Et puis... transformer un méchant louloup en gros nounours est un must dont on ne de lasse pas :D

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    3. @MM : je veux être là lors de l'examen médical du grand méchant loup mouahahaha

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    4. :D C'est vrai que dérégler un méchant Loup en doux nounours est assez jubilatoire mais s'il reste bloqué en position nounours... bonne nuit les petits ! ;D

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    5. Euh... je dois vraiment signer ?21 décembre 2015 à 20:52

      Suffit de le débloquer :D c'est encore plus facile.
      En vrai un loup c'est comme une poupée... On lui fait faire ce que l'on veut... :D

      (Enfin presque)

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    6. Bon, les filles faudrait p'être pas rêver là... je me laisse aller SI JE VEUX !

      C'est le problème avec les vilaines, du haut de ton trône tu accèdes à une ou deux requêtes par-ci, par-là et elles s'imaginent à Disney land !
      "ouaiiiiis, moi j'veux qu'on soit dure avec moaheeuuu parque sinon j'suis grave trop déçue, tu voiiiis? ouaiiiiis, moi je fais c'que je veux avec le loup, il me mange dans la main, j'suis trop forte les filles, les loups j'en mange deux l'matin, trois l'soir entre deux tranches de pimprenelle..."
      Non, mais c'est fini ouiii?

      La vilaine a une mémoire de poisson rouge, Elle aura beau déverser toutes les larmes de son corps, supplier et s'excuser pour ses comportements douteux, vous glisser dans l'oreille;"Monsieur, vous avez été très méchant" et bah, je te le donne en mille, tu les laisses gambâaader 5 minutes sans collier et c'est la foire !
      "Ouais, j'fais c'que j'veux, même pas peuuuuur, les filles j'suis crocro forte, je le bloque et je le débloque.." "oui, c'est trop d'la balle de dérègler un méchant loup, mais faut faire gaffe à c'qui reste pas un nounours, hein houhouhouhou.."
      Non, mais faut se rependre les filles, vous m'avez bien bloquer là et on va voir comme ça va se débloquer cette affaire, non d'un paddle en bois !

      Faut toujours revenir aux bases !

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    7. Vous avez raison, Monsieur, ne vous laissez pas faire !

      :-p

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    8. ... Monsieur Méchant,... quelle drôle de manière de vous exprimer... Je ne savais pas que la jeunesse était sexuellement transmissible ! sinon, vous pensez bien, j'aurais changé mon panier d'épaule depuis belle lurette ! ;D

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    9. Mais je me suis mis au niveau de vous raillerie de crâneuses à distance….
      et j’ai eu du mal ! :p
      La jeunesse, je l’ai attrapée très tôt, moi !

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    10. Vous vous méprenez Monsieur Méchant. Ce n'est pas de la raillerie de crâneuse à distance (nous sommes bien assez proches :p). Il s'agit, ici, d'aide à la personne sur une base de bénévolat associatif, autour des fêtes de Noel, envers les loups ramollis du bulbe.

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    11. Ah ben tiens Je vois que vous avez attrapé une whynotite et que vous vous lancez aussi dans l'insulte.
      S'il vous plait, soignez-vous vite et revenez-nous en meilleure forme.

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    12. Ah ? heu... pardon (vous pouvez l'effacer :))

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    13. Ben oui, je n’aime pas qu’on me traite de ramolli du bulbe moaaa (tout comme ramolli d’autre chose, d’ailleurs…), ça sous-entend que je suis con, ce que je suis peut-être d’ailleurs...
      Mais dans l’hypothèse où je ne le serais pas, je me sens lésé par ce qualificatif, moi qui ne suis juste que Méchant.
      Et dans l’hypothèse où je le serais, je n’aime pas qu’on me le dise... comme tous les cons. ;)

      Mais bon, suite à votre promesse (pour vous excuser) de m’envoyer une photo de vos fesses alors que vous êtes en tenue de lutine de Noel, je ne peux qu'ensevelir mes états d’âme sous une montagne de pardon ! :p

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    14. HEIN ? QUOI ? c'est pas d'jeu ! Et puis vous savez bien que pour moi ramolli du bulbe ça veut dire être fatigué ... La vie est trop injuste ...

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    15. fatigué? mais je suis pas fatigué ? °_0
      J'attends mon précieeeeeux cliché...

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  2. Excellent moment encore une fois à vous lire... Je m'y retrouve curieusement, tout en sachant que nous avons aussi des fonctionnement bien différents sur bien des choses.

    En tout cas, pour la sodomie, je vous rejoins ! (je ne dis pas "je vous précède", ce serait dangereux...)

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    1. Ah, heureusement y-a Stan, qui éclaire ma mâtiné de ses mots amicaux, les mots de ceux qui savent...

      Ah, mon ami, vous savez que la vie de grand méchant loup n’est pas un long fleuve tranquille (oui, vous le savez… ;))
      (Vous m’avez bien fait marrer avec votre histoire de sodomie… ;))

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  3. Hummm...un peu de douceur dans ce monde de brutes ne nuit pas.

    C est une bonne maladie et il faudrait être fou pour vouloir en guérir.

    Et puis...et puis laisser la main aux vilaines qui sauront TOUJOURS réveiller le méchant en chacun de vous.






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    1. "Un peu de douceur dans ce monde de brutes"
      Voilà qu'on me la joue "Soupline" maintenant.
      Laisser la main aux vilaines?
      Oui, peut-être. Enfin mise à part leur laisser sur le cul, je vois pas d'autre endroit !

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  4. Allons bon... Mais non, c'est justement le machiavélisme de la méchanceté ça. ben oui, on offre des sucreries de bain moussant, de caresses, des baiser et le belle s’envole dans un ciel de soie croyant la métamorphose du vampire en papillon. C'est à ce moment de plénitude candide où le papillon déploie ses ailles de chauve-souris pour, chauve qui peut, fondre sur la belle comme un rapace sur la petite souris rêvant devant un kilo de vieux Cantal. C'est diabolique... C'EST MÉCHANT !

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    1. Aaaaah Mike, ouiii, c’est ça…
      Le paradoxe et le contraste.
      Le moment où l’on s’immerge dans ce que l’on a de plus doux et tendre pour, d’un coup de pied sur le fond de cette abyssale descente, remonter à la surface de ce que l’on de plus dur... (en écrivant ça, j’ai peur que ce : « ce qu’on a de plus dur » soit mal interprété)
      Et puis le coup du supplice de Cantal, c’est tout moi !

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  5. Je ne sais pas pourquoi mais pendant toute la lecture du texte j'imaginais votre poupée faire un large sourire sous ses cheveux.... En poussant des petits gniark Gniark de contentement ;)

    J aime bien quand vous êtes amoureux, vos récits vibrent à nouveau.
    Mais bon ne vous reposez pas sur vos lauriers ! Sinon on va vous faire repasser vos diplômes ;)

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    1. Oui hein...c est bon de lire ça.

      Fondre ou bien craindre...alchimie fantastique des émotions que j aime que l on fasse naître en moi.

      A quand le blog "Monsieur Gentil"? ;)

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    2. Dita, amoureux amoureux... Tout de suite les grands mots.

      Un loup est toujours en amour du petit chaperon qu'il mène sur les sentiers encore brumeux entre les chênes centenaires, à travers les fougères et la bruyère en fleurs, en zigzagant entre les premiers rayons de l’aube, en sautant par dessus l’eau vive qui serpente entre les rochers tapissés de vert, jusqu’à sa tanière.
      C’est là qu’au premières heures du jour, encouragé par une grappe de rossignols volubiles amassés sur une souche, couché sur un tapis de roses blanches, il sodomise sa belle prise après avoir troussé son poncho rouge et arraché sa culotte de vierge...
      Non mais !

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    3. Am', "Monsieur Gentil", le jours où je créais ce blog, soyez sympa, ne me ratez-pas, envoyez moi les chasseurs avec du bon matos !!!

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    4. Mais vous pensez bien qu'une aubaine comme celle ci je ne la raterai pas. Je viendrai moi même chasser l intrus en vous...j ai un sac plein de vilainies en stock...une boosteuse de Méchants en perdition. "Un mot" (je ne dirai pas lequel :0) ) parfois suffit à faire renaître l animal qui se pensait presque mort.

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    5. Vous voulez peut être que je reformule d'autres excuses? :o)

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    6. n'en rajoutez pas, je crois que vous avez fait le plein pour le WE ! ;)

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    7. Ah.... Je vous imaginais pourtant bien en train de filer du coton sous une véranda en écoutant un bon blues... Filant du coton pour faire de jolis vêtements à votre Vilaine.
      Je suis troooooop romantique :)

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    8. Les seuls choses que je file, c'est les bas ! quand je les arrache....
      niark niark niark

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  6. C'que c'est que toutes ces histoires ?... Je ne crois pas qu'il soit ni déshonorant -ni étonnant- de tomber amoureux de certaines victimes... Ce sont les risques du jeu. Et puis être amoureux n'empêche en rien la sévérité, il me semble !... Je serais tenté de dire : au contraire...

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  7. Mais je suis tout à fait d’accord, on a beau être méchant, intransigeant, sévère, ferme, dur, nous n’en restons pas moins aimant !
    Et je suis bien d’accord avec W, c’est parce qu’on vous aime et que tout « ça » a une importance inouïe que notre exigence est démesurée....
    Ne dit-on pas : « qui aime bien .... ? » :p

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  8. Un moment d'égarement, c'est si bon parfois... ça me rappelle un matin, réveillée gentille comme d'habitude et puis là, en passant dans la salle de bains j'ai rien compris : ma main a cessé de m'appartenir pour atterrir dans un terrible claquement sur une paire de fesses dominantes. Rahh un homme qui se rase nu, les deux mains occupées dans cette mousse, fesses musclées me narguant... je n'ai pas résisté. Un grand sourire canaille de Père Noël me récompensa dans le miroir.
    Je me crus sauvée...
    Mais ouf les Méchants reprennent vite du poil de la bête.
    Et effectivement leur exigence doit être à la hauteur de leur affection (et inversement).

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    1. Alors comme ça on claque le cul des méchants affairés à tailler leur barbe de rustre des bois? ;D
      J'imagine tout à fait la scène... le moment où la main claque sur ce cul offert, vous faisant ainsi entrer dans une réalité augmentée, les yeux incrédules de ce que vous semblez avoir fait... :p

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    2. Le clap de la scène qui va suivre :)

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    3. Oooh....ne m'en parlez pas...ça m'arrive tous les jours!
      C'est comme les fou rires au moment ou il ne faudrait pas et mon "mais c'est pas moi M'sieur! c'est le pouvoir de la force obscure qui s'est infiltré dans mon petit corps..." ne marche pas à tous les coups. (en fait jamais.)

      Parfois...oui, on s'étonne vraiment soi même, j'aurais même un semblant de honte.

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    4. Certainement une force obscure qui vous attire vers le pouvoir qu'a la force manuelle à créer chaleur sur le cul des vilaines! Évidement, ce n'est pas de votre faute, mais une nécessité par ces températures hivernales! :D

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    5. @ Hannah, l'essentiel est que la scène soit réussie du premier coup, sinon... :p
      @ Am': "c'est le pouvoir de la force obscure qui s'est infiltré dans mon petit corps..." c'est comme ça que vous l'appeler: le pouvoir de la force ? (ça laisse rêveur...^^)
      @ Equilibre, une sorte de cycle de Carnot, donc ?
      Qui fait descendre la température externe comme celle d'un frigidaire en réchauffant son cul?
      Vous venez peut etre de trouver un remède au réchauffement climatique?
      Faudrait la fesser pendant deux semaines d'affilées et voir l'incidence sur la température extérieure? ;)

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    6. @Am'"j'aurais même un semblant de honte" oui oui tout à fait et puis d'abord "j'ai pas fait exprès." (non ça ne marche pas non plus ça).
      J'ai bien essayé un petit "C'est pas grave hein ?" mais... "Non ce n'est pas grave. Mais... tu seras punie quand même." Pfff

      @MonsieurMéchant Je suis assez perfectionniste mais comme la seule stratégie de résolutions de problèmes que je connaisse est celle que l'on nomme "essais erreurs", il faut généralement plusieurs prises avant que tout soit résolu... hum.

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    7. Et courir le plus vite loin de la scène du crime ça marche pas ?
      Après bien sûr un regard totalement incrédule échangé dans le miroir.
      ( mais pourquoi ai je fait çaaaaaaaaaa ?)

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    8. @dita le regard incrédule y est toujours :)
      Mais courir où ? Dehors dans la tempête et le noir, perchée sur 12 cm (ça court pas, ça marche même pas).
      On peut toujours essayer de se cacher sous le lit ou dans le placard par contre, histoire de gagner du temps...

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    9. Mesdames, la meilleur façon d'essayer déchapper à l'inéluctabilité avec des talons de 12 cm est encore de se mettre à quatre patte.... en faisant de votre mieux pour retarder le son de l'hallali sur votre joli corps de chasse... ;)

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    10. Le meilleur endroit où se réfugier, c'est la douche ou la baignoire, les filles, armée du pommeau de douche, le robinet tourné sur eau froide. Dès que le méchant approche, on ouvre le robinet... très efficace... le seul petit problème, c'est que vous risquez d'y rester un moment, car si vous vous décidez à en sortir...

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    11. Ah ouiii merci Misty ! Je vais tester dès que possible :)

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  9. Loup échaudé ne craint-il pas l'eau froide?

    ( et vous faites quoi de mon petit haut sous l'eau froide, les tétons dressés ?!) . Je vais tenter plutôt le suspendu au balcon en hurlant à la mort que l'on ne fait que m'embêter ! :p

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  10. Oui, enfin je préviens tout de suite, celles qui me font le coup de "l'O à la douche" (froide) finissent toujours par le payer très chair !!!

    Bon et puis bonne année à tous aussi !
    Aux vilaines, que vos résolutions inachevées appellent nos punitions inégalées !
    Aux Méchants, que nos pattes jalonnent les chemins triomphants des fesses bien éduquées !

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