lundi 30 novembre 2015

L'Erection Paradoxale



Mesdames, je vais vous faire une révélation sur la physiologie masculine qui fait en sorte que notre virilité se dresse en étendard dès le matin, à notre insu même (maaagiiiiie).
J'appelle ça l'érection paradoxale !
C'est mieux que la GDM, non ?
Ben oui, G.D.M. ! ! ! ! La Gaule Du Matin ! ! ! ! (qui a un petit coté républicain)
Je préfère, et de loin: " l'érection paradoxale ".

Certaines vilaines aiment abuser de cette virilité pointée vers le ciel, alors que nous sommes en abîme, vulnérablement endormis.

Elles apprécient grandement caracoler doucement sur notre dard matinal, le souffle régulier contre notre oreille, les cheveux épars dans notre cou, elles font de leur mieux pour ne pas nous réveiller et profiter de notre queue sans notre permission! (Grand Sourire).

Il arrive parfois, sommeillant dans le petit matin, que je reprenne doucement conscience, la queue en " détention " , malaxée par un entrecuisse avide et phagocyte.
Les yeux fermés, j'allonge une main à la rencontre de la chaleur d'un corps posé juste là.
Je flatte une rondeur, tentant d'en cerner les frontières, j'analyse; C'est rond, doux, tiède...
J'allonge une autre main, tout doucement, comme si j'approchais un animal farouche, prompt à déguerpir.
Je caresse et inspecte les contours offerts, j'emprunte les courbes que je reconnais soudain : c'est un cul ! et quel cul !

SON cul qui ondule alors qu'elle m'engloutit de haut en bas.
Elle est empalée, s'agite en petits coups de reins, fait des ronds de bassin, son petit puit de femme comme vissé sur ma queue, pétrit ma chair de l'intérieur dans une lente frénésie.
Puis vient l'instant précieux ou elle implose...


J'ouvre alors les yeux, mes mains arrimées à ses hanches qui voguent sur moi, et la voyant ainsi, je me fragmente avant de fondre longuement en elle.


40 commentaires:

  1. Bonjour,

    Petites annecdotes complémentaires.

    En anglais, on appelle ça la gloire matinale (morning glory) : http://www.urbandictionary.com/define.php?term=morning+glory

    A noter la chanson d'Oasis : Noel Gallagher parle à son penis "What's the story, Morning Glory" ... qui pourrait se traduire par "Quel est l'histoire de ce matin radieux" ou "Quelle glorieuse histoire matinale" ou mieux ... "c'est quoi ça ? Je bande comme un cheval".

    On peut aussi noter que le pape Benoit XVI a cette chanson dans ses chansons préférées : http://www.rtbf.be/classic21/article_le-journal-du-rock-de-l-annee-2?id=4703463
    Je pense qu'il n'a pas eu la lecture symbolique à laquelle il a été habitué avec les textes sacrés, à ce petit moment de poésie matinale d'Oasis.

    Que fait le pape de sa gloire matinale ?

    Ed

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    1. Glory glory Alleluia ! ^^
      Messieurs, si je comprends bien, votre sexe est un vilain qui vous trompe dès vous avez les yeux fermés.
      Est-ce qu'il vous arrive de le punir?

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    2. @ Ed, "Glory morning" Y-a pas à dire les anglais ont toujours un coup d'avance quand il s'agit de trouver une formule imagée. ;)
      Merci pour l'annecdote, elle me ravit d'autant plus qu'Oasis est une sacrée référence musicale. Tiens je l'ajoute au billet pour le coup !

      Quant à la tente matinal du pape, gageons qu'il ne fera pas une bulle !

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    3. @ Vilaine Poupée
      il m'arrive de le priver de sortie !

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  2. Hooo comme je me souviens les étés d'une jeunesse passée où dans un lieu de couchage commun, juste couvert d'un drap afin d'être encore digne par cette saison de vacances aux températures moites... Lorsque j'ouvrais les yeux je m'étonnais des lueur striée du plafond projeté par les volets. Allongé sur le dos je savourais la tiédeur du nouveau jour, j'étais bien je me laissais aller dans quelques lambeaux de sommeil, puis, comme un parasite à mon bonheur, j'entendais au lit voisin un petit rire chuchoté. Les paupières pas complètement décollées, je me tournais vers ce râle idiot pimenté d'hilarité. Les pupilles du souffleur de "Hi, hi" à peine audible m'indiquait la cause de son contentement imbécile. Je relevais légèrement ma tête vers mes pieds et à mis chemin fixait mon drap pointé comme un tipi. Donc voilà ce qu'on nomme l'érection paradoxale, la gaule du matin ou couleur thé, le morning glory. Si j'avais su, j'aurais balancer tout ça à mon voisin histoire de lui broyer les neurones de mon savoir sur la chose. Franchement, y'avait pas de quoi rire, même sous cape.... C'est dans ces moment qu'on regrette que le voisin idiot ne soit pas une voisine délurée. ben oui, la belle aurait certainement jubilé de ce piquet de tente dressé et m'aurait gracieusement fait le levé des couleurs entre ses lèvres humides ou aurait tenté d'amadouer le monstre entre ses mains. Quel con ce voisin de chambrée quand j'y pense.

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    1. Ah Mike, j’adore ! J'adore ce style et ce qu'il éveille en moi de réminiscences de colo ou de pensionnats, dans la lignée de la guerre des boutons ou de Pagnol.

      Quand je pense à toutes ces tentes orphelines qu’on a montées plus vite que celles de décathlon et qui sont restées abandonnées, comme des tipis maudits.
      C’est qu’on en a dressé du pieu, à l’affût dans les cartes de France de nos draps solitaires!
      Nous n’attendions que d’y hisser les couleurs d’une peau galbée au son du joli corps.
      Mais ces petits monts gonflés aux souffles de nos rêves boutonneux, petits phares abandonnés dans la nuit de nos rêves éveillés, n’ont point vu l’hymen qui aurait pu nous rendre le sommeil.

      « Qu’hymen me suive !», qu’il disait !
      Foutaise, nous n’avions que nos mains pour grand voile dans cette transat en solitaire ! ;D

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  3. j' adore savoir les hommes ainsi...
    ( et j'assume ce soir ce commentaire totalement 1 er degré... ^_^....)

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    1. "Les hommes ainsi... "
      il va falloir nous en dire plus? les hommes bercés par Morphée à votre merci ? ;)

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  4. Quel plaisir de les voir ainsi, je vous rejoins Dita ;)

    Lyne

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    1. Chère Lyne, ainsi donc, vous nous aimez désarmé, anesthésié dans l'aube, le corps à la dérive parce que l'esprit est ailleurs, encore bercé par ce qu'il a connu le veille au soir...
      Vous arrive-t-il de le regarder dormir, à l'affut de l'enfant qu'il pourrait vous dévoiler en dormant...?

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  5. Oui.
    J aime bien cette traversée des brumes, il y a quelque chose de conquérante, de capitaine de navire...
    Triomphante, la poitrine gonflée, je vérifie mes coordonnées au sextant, j' hurle les instructions en haut du pont supérieur à mon équipage.... Oui ?.....
    Pardon ?.....
    Mutineriiiiiiiiiie

    ( pensées à mon franck camas)

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    1. C'est le meilleur moment pour chevaucher un animal sauvage ;)

      Lyne

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    2. Dita est une pirate qui aime prendre secrètement le contrôle du bâtiment à l'insu de son capitaine.
      A califourchon sur le fut d’un canon encore tiède, elle harangue l'équipage, le chemisier ouvert sur ses mamelles révolutionaires.
      Puis, emportée par son élan de mutinerie, elle va s’empaler sur le beaupré, ce qui finit par tirer le capitaine des rêveries tropicales où il s’était échoué.

      Forcément, le seul butin de sa révolte sera la cale, nue, les mains attachées bien haut pour que tout l’équipage puisse juger de son indécence quand le capitaine la poussera sur le pont vers le tonneau où elle sera basculée, berceau de tous les outrages à venir…
      Nonméhoooooo, c’est qui qui commande sur ce bateau !!!!!

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    3. Quant à Lyne la boucanière, nous lui mettrons un rosebud puisqu’elle semble en apprécier la parure.
      Et, pour ne pas la laisser dans la solitude, nous ferons venir sa complice, garnie du même bijou anale. Nous tendrons une cordelette entre les deux précieux bijoux en imposant à ces deux vilaine qu’elles la maintiennent bien tendue sans pour autant se dévêtir des ogives métalliques qu’elles ont dans le séant.
      Et nous suspendrons à cette drisse tendue providentiellement entre ces deux révoltées, une pancarte sur laquelle sera noté : « je suis une vilaine qui profite de la vulnérabilité de mon capitaine pour jouer avec ce qu’il a de plus précieux » :p

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    4. Ce moment de vulnérabilité qu offre l homme (à son corps défendant) est plutôt touchant. Il m est arrivé d hésiter avant d embrasser ce mât pointant vers d autres rêves. Et puis...cet autre moi, petite femelle vicieuse me pousse à l abordage. Et...tant mieux pour les conséquences.

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    5. Quoi?!!! Encore une amazone rompue à la fourberie pour prendre à l'abordage mon donjon et sa tourelle au bois dormaaaaant...

      Allez, même punition ! un rosebud et aux fers ! ;)

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    6. Quoi...?....parlez plus fort Capitaine...je n entends rien avec les cris de ces pôvresses...vous avez dit "des roses et un dessert"?
      Vous êtes charmant avec les dames du monde.

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    7. AhAhAh Des roses et un dessert...
      Non du sang, des larmes et des pleurs !!!! nonméhoooo :p

      C'est que je le vois d'ici mon petit chapelet de vilaines attachées à une grosse chaine par leurs petits bijoux dans ma cale...niar niark niark

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    8. Ahhhh...j entends mieux...vous avez dit "bijoux"....bien mon brave, j veux bien faire un tour sur votre rafiot...moi qui avait entendu tant de drôle de choses sur vous!....vous n êtes qu un gentil si romaaantique...

      Fleurs, chocolats et bijoux....suis comblée :p

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    9. J' ai eu peur un moment. J ai crû que vous alliez utiliser ce chapelet de Vilaine pour faire sécher vos caleçons mouillés. Nous aurions eu l air de quoi lors d un abordage ou à l accostage d'une terre inconnue.
      J espère que dans votre équipage vous n avez pas de vieux pirates à la jambe de bois et aux dents rongés par le scorbut qui risqueraient de nous faire subir l épreuve de la planche pour récupérer notre portion quotidienne ?


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    10. @Am' gentil rôoomantique, et plus encore !!!!
      Venez-y donc sur mon bateau, vous qui aimez les cordes et les noeuds durs, je vous montrerai comme mon mat est attachant ! :p

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    11. @Dita, la seule épreuve de la planche que je connaisse laisse sur le cul une expérience marquante.
      Nos planches sont en bois recyclé, vous serez fessée avec le label "COP21 approved", nos empreintes carbone disparaissent en 10 jours !!!! :p

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  6. J'ai gardé la tétée du matin.

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  7. Charmant, vraiment... et quelle belle illustration.
    En ce qui me concerne, je suis plutôt une victime de l"injonction paradoxale" du genre: "Sois sage vilaine !... Arrête sinon c'est la fessée !" Argh que faire ? De quoi devenir schizophrène...

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    1. Hannah, je comprends la tourmente dans laquelle vous jettent ces injonctions paradoxales !
      Cependant, vous ne devez voir dans ces impératifs imagés que l’envie d’un honnête homme de vous mener parmi les sentiers escarpés d’une éducation bien menée.
      Il faut écouter ce que vous dit votre cœur et que sait vous rappeler votre cul quand votre tuteur s’emploie à y bruler les stigmates de vos vilaines errances. :p
      On éduque comme on aime…

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  8. Mon Imperator,

    Votre récit fleure le parfum de mes matins, celui que mon corps exhale en effluves épicés aux ébats de ma nuit, ma peau encore frémissante de cette chaleur, à nulle autre pareil, irradiant de sa paume.

    Vos mots font délicieusement écho en émanations avec ma rosée matinale, celle qui d’un souffle s’appose, m’anime et m’inonde, lorsque, dès les premières lueurs du jour, mon corps, encore avide, instinctivement et invariablement, s’aimante au sien.

    Votre épilogue, qui devient prologue, me rappelle ses douces stries marquant la fine peau de mes hanches, ondulantes en vagues perpétuelles sur sa verge conquérante et consentante, jusqu’à m’arracher ce cri silencieux qui résonne en vibrations.

    Et je me plais à imaginer… Cette rencontre improbable entre votre érection paradoxale et ma rosée matinale…

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    1. Vous savez qu'à force de m'appeler "Mon Imperator", je vais finir par choper le melon, moaaa?
      Ainsi donc alors que nous hissons les couleurs dans l'aube vaporeuse, dans ce qui était la veille un champ de bataille au corps à corps, vous perlez des gouttes de pluie venues de pays où il ne pleut pas?

      C'est bien mal me connaitre que de croire que je m'arrête à la rosée. Je pousse jusqu'au rouge moa et méchamment ;)
      Le rouge nouveau qui tache les fesses et déteint sur les joues, à mesure qu'on "déguste" ! ;)

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    2. Imperator est votre titre...
      Couronnant vos faits d'âme trouble, témoignant du pouvoir que vous exercez, avec fermeté et justesse conjuguées, sur vos troupes Obéissantes et reconnaissantes de l'insigne honneur que vous leur témoignez...

      L'Imperator sait ce qu'il en est de ses territoires... Oui, si mon corps vient de ce désert aride où il ne pleut pas, vous avez le pouvoir d'y provoquer ,par vos incantations et possessions, cette tempête en larmes et flots mêlés, défiant les Lois, régnant sur mes éléments intérieurs.

      Je vous connais fort bien, aussi bien que vous me savais Chevaleresse de la Rose Pourpre, arborant ses couleurs en oriflamme et m'y soumettant sans faille...

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    3. Je vous dois combien? :p
      "Chevaleresse de la Rose pourpre...".
      On s'imaginerait presque à cheval (le mien s'appelle "Joli Jean-Pierre"), en croisade pour aposer un sceau carmin sur des fesses sauvages... :p

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    4. Qui paie ses dettes s'enrichit... A fortiori en monnaie sonnante et cuisante...

      "Joli Jean-Pierre"... Bof, bof, bof...
      Mon étalon se nomme Mister Matador...

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    5. Ah, si vous ne connaissez pas Lucky Luke et son fidèle destrier, ça n'a pas dû éveiller l'ombre d'un sourire, cette joke... ;)

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    6. Monsieur Méchant voyons...voyons... Vous me sous-estimez...

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    7. Matador, c'est le nom d'un cheval pommelé dans "le premier homme" !
      (voilà, c'était juste pour craner avec une note culturelle :p)

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    8. Vous n’imaginez pas à quel point votre note culturelle me parle… Par son auteur, ses contrées et son histoire … Vous visez juste, malgré vous, en plein cœur… !!!

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    9. Ravi de savoir que vous aimez Camus. J'aime sa vision du monde, de son étrangeté.
      Accepter de son absurdité pour mieux l'aimer ! ;)


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    10. L'expérience Camusienne c'est "la longue confrontation d'un homme à une situation (...)" dans ce qu'elle a de plus intime, de plus confidentiel et d'infiniment sensible. Dont on ne sort pas indemne mais tellement riche...

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  9. @ WHY NOT
    Je tiens à rappeler au petit décérébré qui se fait appeler WHY NOT et qui se donne tant de mal à m’envoyer des commentaires insultants, qu’il me semblait avoir été clair. (grand sourire)

    Je ne peux accéder à sa requête car je ne publie pas les commentaires des crapauds fielleux et méprisables quand ils sont trop agités du bocal.

    Je comprends qu'il est animé d'un grand besoin d'exister mais je ne peux rien pour lui ni pour la vacuite qui doit l'amener à de tels débordements.
    Je ne peux malheureusement pas l’aider non plus à abandonner les maladroites manières dont les esprits faibles usent pour tenter de se frayer un chemin dans le labyrinthe d’une éducation défaillante, car je suis méchant et en plus... j’ai une aversion pour les cons.

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