vendredi 16 janvier 2015

Et la Lumière fut


Dans ce monde secoué par l’obscurantisme de tous poils (sic) et la peur, gardons en têtes « Les lumières » de ceux qui ont nourri les idées de la république en s’opposant à l’intolérance et aux croyances ténébreuses !


Monsieur Méchant veut prendre, bien humblement, toute sa place dans ce combat pour mettre la lumière sur ces chemins obscurs.

Que la lumière soit !






22 commentaires:

  1. Le clair dans l'obscure, une cure en clair, une piqûre de rappel pour chasser les ombres qui ne sont que par manque de lumière.

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  2. Vive la France !
    Vive la raie publique ! :
    :p

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  3. Je connaissais la frontale, apparemment la rectale permet aussi bien d'éclairer !

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    1. Oui, je vous sens inspirée par le forniphilie....
      Des velléités de lampes?

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    2. http://sonnette.s.o.pic.centerblog.net/b021e54d.gif

      what else?

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    3. La tenue est parfaite.... l'immobilité, en revanche, laisse à désirer ....

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  4. Humblement, c'est le mot.
    Car il y a des spécialistes.
    http://www.maitredolyve.fr/categorie-12559514.html

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    1. oui, j'espère qu'ils ne brulent pas la bougie par les deux bouts !!!! :p

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  5. C'est dommage qu'elle ait les mains prises, elle aurait pu jouer quelque chose.

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  6. Je ne sais pas, moi. Ainsi parlait Zarathoustra rien qu'en se mouchant. Quelque chose, quoi. ça manque de son.
    Il faut dire qu'elle n'a pas l'air d'être une lumière. Sinon elle ne se serait pas laissée photographier sur ce fauteuil immonde avec la fesse aplatie, le pied tourné qui ne veut rien dire au premier plan, à côté d'un vieux moniteur de ski qui vient manifestement de défaire ses couettes et dont les gosses ont dessiné sur la cravate, en train de cacher son absence de culotte et quand même quelqu'un devrait lui dire qu'elle a une lampe dans le cul.

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    1. Vous êtes brillamment observatrice, ce p’tit coté « mentaliste » mérite cependant d’être développé...
      C’est vrai qu’on dirait que les gosses lui ont barbouillé la cravate pendant qu’il faisait la sieste. Mais si vous regardez mieux, il s'agit d'une cravate Kandinsky glanée au Guggenheim de Venise: "Nous avons là, un amateur d'art moderne !"
      Vous auriez pu noter qu’elle est allongée sur une table gynécologique et que ses jambes sont docilement placées dans les étriers d’usage.
      Je pense qu’il est en train de lire la notice du speculum (rien à voir avec les biscuits belges) dernier cri dont il vient de faire l’acquisition.
      Si vous regardez d’un peu plus près encore, vous verrez que les poignets de sa patiente sont entravés: "Cela nous invite à pense qu’il s’agit d’une italienne volubile et un peu casse couilles" (ce qui expliquerait aussi pourquoi sa main gauche à lui n'est pas visible: elle est en position basse, délicatement posée sur son entrecuisse, dont elle masse délicatement les testicules)
      Si vous observez le sexe de l’italienne, vous verrez que ses doigts appuient sur l’extrémité de la lampe torche du cabinet, ce qui veut dire qu’il vient d’y avoir une panne d’électricité signe d’un désordre chez l’opérateur énergétique : Ce devait être pendant les inondations de la fin d’année 2014 et le cabinet de ce praticien est à La Londe CQFD.
      What Else ?

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  7. Aucun vous m'entendez aucun italien de qualité ne vendrait, fusse à Venise, de cravate Kandinsky ou autre sur fond rayé. Les cravates Kandinsky sur fond rayé ne peuvent par définition pas exister. Sinon, c'est pas Kandinsky. Même une cravate Vasarely ne serait pas sur fond rayé. Bien évidemment, aucun amateur d'art moderne ne se laisserait prendre au truc de la cravate arty sur fond rayé. Ou alors juste pour une soirée shocking detail.

    Elle n'est pas entravée, c'est la manche de son pull. PArce que si elle est entravée, c'est bien light. ça tient plus du bracelet que de l'entrave. Et à mon avis elle tient quelque chose à l'intérieur de son vagin. Enfin, j'espère pour elle qu'elle tient quelque chose à l'intérieur de son vagin. Je dis vagin parce qu'on est effectivement sur une vieille table d'examen, fantasme un peu étrange, il y a tellement d'autres choses à faire avec de l'inox.

    Ah, et elle n'est pas italienne. Même pour une photo, aucune italienne digne de ce nom accepterait d'une part de ne pas montrer ses seins, d'autre part de frayer avec un type habillé par un singe.


    Quant à lui, si sa main gauche était sur ses testicules, l'épaule au bout du même bras aurait légèrement basculé en avant ce qui n'est pas le cas. Sa main est au bout du bras, lequel repose sur sa cuisse. ça plus les marques de couettes, à on avis on l'a chopé pour la photo dans le studio d'à côté où il faisait la petite écolière mais pas pour les enfants.

    La photo est donc prise en Allemagne de l'est au milieu des années 80.

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    1. Pour la cravate, et en y regardant d’un poil plus près (ce que tout bon mentaliste, avide de la préciosité du moindre détail, sait faire) il semble que : « Ceci n’est pas une cravate Kandinsky », ce qui, par effet de déduction et pour rester raccord avec le Guggenheim de Venise dont elle sort, m’amène à la conclusion sans appel qu’il s’agit d’une Magritte !!!
      Et par effet de domino, je vous l’accorde : ceci est surréaliste !

      Aller chez son gynécologue en « pull ovaire » est d’une violente perversité !
      Il est indispensable d’analyser le pull.
      S’il est découpé autour des seins de manière à poursuivre un examen avec palpations d’usage, nous avons bien affaire à un gynécologue.
      Notez que sa coupe de cheveux incertaine ne permet pas le port des couettes (même en position très basse). Non, nous avons affaire ici à un hyper addicte de la laque pour les cheveux !!! Ses effets secondaires, bien connus en cas de sieste prolongée, donnent à ceux qui en abusent l’air d’un poney shetland.
      Au passage cette option seins à l’air tendrait à renforcer l’idée qu’il s’agit d’une italienne !
      Si en revanche le pull n’est pas découpé autour des seins, cela veut dire qu’il est enfilé pour ses vertus thermiques. Ce qui pourrait vouloir dire que cette femme est une maniaque de la ponctualité qui est arrivée en avance et attend tranquillement sur la table son RDV du lendemain 8h pétante !
      Une italienne se faisant toujours désirer, je pencherai alors pour une fille du nord (une suédoise..), ce que sa peau blanche et laiteuse et l’amorce de son 6ème doigt de pied (si si ,regardez bien) tendraient à prouver !
      Dans ce cas, il s’agit du veilleur de nuit et non pas d’un gynécologue.
      Quoi de plus normal qu’un veilleur de nuit sous une veilleuse, d’ailleurs !
      Le fait qu’il lise un roman photo me fait dater cette photo à 1970.
      Donc Stockholm, 1970 !

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    2. Cela ne me semble pas totalement exclu, quoique deux détails pourraient infirmer votre théorie:
      L'utilisation abusive de la laque dans un pays nordique est la preuve d'une perversité de niche: la laque gèle.
      Ensuite, la station prolongée et immobile d'une fesse nue directement sur du skaï, sans drap jetable, laisse augurer un certain nombre de désagréments quand elle va tenter de se décoller (lesquelles pourraient donner une série de photos inédites qui pourraient dans certains endroits la propulser directement dans le Kinkyness' Hall of Fame.

      Vous et moi, enfin, sommes manifestement incapables de déterminer avec une analyse rapide s'il s'agit du faisceau d'un led. Peut être pourriez vous ramener quelques physiciens sur ce blog, je n'ai pas encore essayé les physiciens.

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    3. A propos de physiciens de blog, je crois qu'au cours de votre formation, votre instructeur a omis quelques principes physiques du type: la Laque ne gèle pas !
      c'est le Lac qui gèle, voyons !
      Quand à la position immobile sur le skaï, vous auriez dû noter que cela nous induisait à connaitre le prénom de la patiente qui s'appelle Lucie et qu'une bande d'ado mélomanes à la tignasse fournie surnommait: Lucie in the skaï !

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    4. La suite, c'était with diamond. On le lui a remplacé par quelque chose qui brille, mais moins fort. CQLSD.

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  8. Ah, et attention, un spéculos c'est dangereux. Le sucre peut couper. Essayez plutôt avec une madeleine.

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