dimanche 8 novembre 2015

Un peu de physique quantique dans un monde de brutes


Bon aujourd’hui, Monsieur Méchant passe à la vitesse supérieure puisqu’il va vous parler de la fameuse expérience du Chat de Schrödinguer (Schrödinguer étant l’un des pères de la physique quantique). Cette expérience vise à montrer la difficulté d'appréhender les lois de la physique quantique dans le monde qui nous entoure.
(Lecteur, s'il te plait ne pars pas ! Je te promets qu'il y aura du cul pour finir)

Pour bien comprendre cette expérience il faut comprendre la différence entre la physique quantique et la physique classique.
Autant la seconde est assez facile à comprendre, puis qu’elle considère qu’à chaque instant, un objet est à un endroit et dans un état donné.
Autant la deuxième est plus destabilisante parce qu’elle considère que l’emplacement d’un objet ou son état suivent une fonction d’onde avec des amplitudes de probabilité qui font qu’il peut potentiellement être à tous les endroits et pire être dans des états différents au même instant ! 
C’est le fameux principe de superposition qui est perturbant à concevoir dans notre monde macroscopique.
(Oui, prend un verre d’eau fraiche mon zami, Monsieur Méchant n'a pas fini!)

L’expérience (théorique et fictive) du chat de Shrödinger consiste à mettre un chat dans une boite avec un atome radioactif qui a 50% de chance de changer d’état et d'émettre de la radioactivité et 50% de chance de rester intact.
Il y a dans la boite un mécanisme (qui ferait bondir la SPA, Christine Boutin et le dessinateur Geluck) avec un compteur geiger qui, quand il détecte de la radioactivité, libère un marteau qui casse une fiole contenant du poison qui tue la chat.
(Bon, pas le genre de boite qu’on trouve sur ebay, tu vois?)

En physique classique, avant d’ouvrir la boite, on dira que le chat a 50% de chance d’être mort et 50% de chance d’être vivant, vous voyez ? Il est soit l’un, soit l’autre.

Et bien la physique quantique, cette salope, ne dit pas ça ! elle dit que le chat, AVANT d’ouvrir la boite, est vivant ET mort à la fois!

Absurde ? ben non, les équations de Schrödinguer en attestent.
L'état (vivant ou mort) du chat ne dépend en fait que de l'état de l'atome d'Uranium.
Or la physique quantique affirme que cet atome est un être quantique auquel est applicable le principe de superposition: les particules atomiques peuvent exister dans plusieurs états superposés et simultanés. Huhuuuuuuuuuuuuuu ?

(Mortecouille, c’est quoi ce délire ? would you like a spédifen ?)

Cependant l’observation qu'on fait quand on ouvre la boite est une interaction avec la particule et toute interaction fait cesser l’état de superposition, il y a une décohérence !!! 
Donc quand on ouvre la boite, le chat est bien mort ou vivant !

C’est un truc de fou, car c’est l’observation qui crée le résultat de l’expérience: Responsable ET coupable ! 

Et là où ça devient dingue, c’est qu’en fait si l’observation brise la superposition : « vivant » ou « mort » pour ne retenir qu’un état, les deux états subsistent quand même dans des univers parallèles.
Ainsi, il y aurait une infinité d’univers qui ne communiqueraient pas entre eux et dans lesquels nous existerions d’une manière différente !!!! 
C'est "ça", la théorie des univers parallèles !

(Par exemple, ne t'en déplaise, il y-a parmi l'infinité de ces univers possibles, un univers où tu es pacsé avec Monsieur Méchant ! oui, l'infini fait peur parfois...)

Et c’est là que m’est revenue cette expérience dans un boudoir troglodyte de Paris.
Elle portait un corset et des collants que j’avais pris soin de d'ajourer au niveau du sexe et des fesses. J'avais soigneusement fait sauter quelques mailles élastiques pour rendre ses orifices accessibles et disponibles.

J’avais passé un collier autour de son cou à l’anneau duquel une laisse était clipsée.
J’avais niché entre ses fesses un rosebud solidaire d’une chainette au bout de laquelle se balançait une petite clochette.

Ensuite, je lui ai murmuré à l’oreille : « bébé, tu files discrètement à 4 pattes jusqu’au bar ».
Sur ce, je lui ai mis la sangle de la laisse dans la bouche et suis allé me commander un verre.
Lentement, pour me rejoindre, elle s’est engagée pour traverser le salon, entre les hôtes assis sur des fauteuils ou des méridiennes.
Très appliquée, elle essayait de faire sonner le moins possible cette honteuse clochette.

A l’arrivée, je l’ai faite monter sur le comptoir du bar, cambrée, immobile, la tête droite et la sangle de la laisse dans la bouche.
J’ai passé la main entre ses cuisses. Elle mouillait. Abondamment.

Et bien maintenant que j’y pense, un être quantique aurait fait la traversée dans un double état, en mouillant et sans mouiller! C’est le principe de superposition.

Et bien, elle, elle ne faisait que mouiller depuis le tout début de la traversée, tiens ! L’intérieur de ses cuisses m’en était témoin.

Ce n’était donc pas un être quantique. Non, elle, c’était autre chose.

Une étoile, peut-être…







28 commentaires:

  1. Bonjour,

    Tout d'abord, merci de sortir de la torpeur mes petites méninges un dimanche après midi ;)

    Ensuite, je ne suis pas certaine de partager votre analyse ... Pour moi, si j'applique le principe du Chat de Shrödinguer, j'en déduis que cette jeune femme est le chat, vous êtes l'observateur et le Rosebud avec la petite clochette, l'être quantique.

    Attention, voilà ma théorie ! Avant que vous ne passiez votre main entre ses cuisses, elle mouillait et ne mouillait pas, l'état de superposition s'appliquant au Rosebud et à la petite clochette au bout de sa chaînette (déclenchant un abondant nectar entre ses cuisses et ne déclenchant rien de particulier). Puis vous avez passé votre main entre ses cuisses et là, un seul état s'est imposé à vos sens.

    Vous me suivez ?

    Lyne (partie chercher une aspirine)

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    1. Bienvenue à vous, Lyne.
      A vous lire on croirait que vous couchez avec Shrödinguer, tellement votre interprétation de ses équations est pertinente !
      Oui, peut être qu'en allant sonder son entrecuisse, j'ai opéré cette décohérence, après tout.
      Du coup, dans un univers parallèle, elle ne mouillait pas et était tellement déçue de sa traversée qu'elle s'est levée et s'est barrée, me laissant comme un orphelin avec ma clochette autour du cou.
      Et le moi de cet univers a décompensé en vouant jusqu'à la fin de sa vie une aversion à l'égard des jolis culs.
      Quand j'y pense, je suis passé pas loin d'un truc horrible et mon double, le pauvre, est en enfer ! ;)
      (une aversion pour les cul, mortecouilles, je vais pas dormir de la nuit, là...)

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    2. Je ne suis que l'amie d'un très bon physicien qui m'a expliqué (je vous fais la version courte) que l'idée de Schrödinger est une expérience de l'esprit qui consiste à coupler les fonctions d'onde (et donc les états) d'un système quantique (atome ou photon) avec un objet macroscopique (chez lui un chat mais dans la réalité une cavité optique) : si on agit sur l'un on agit sur l'autre (mais plus à cause de l'intrication des fonctions d'onde).

      Moi, personnellement, je préfère votre explication, ça me parle mieux, question de champ lexical je suppose ;)

      Quant à vos accusations, Monsieur Méchant : coucher avec un mort qui dans une autre réalité serait encore vivant ... C'est flippant ... Mais pas autant que l'image de vous avec une clochette autour du cou et guéri de votre "dépendance aux rondeurs callipyges".

      Lyne

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    3. Oui, il a raison votre ami, c'est bien en faisant le parallèle entre le comportement dans le monde quantique et celui dans le monde macroscopique, qu'on éprouve le grand vertige ! :p

      Oui, c'est flippant ! En plus, je ne sais pas si Shrödiguer était/est un bon coup. Einstein expliquait que tout était relatif.

      Ceci dit, je vous rassure, je ne suis pas guéri et j'ai toujours des allures pitoyables quand je croise une jolie croupe, portée en bandoulière, qui danse comme le pompon d'un manège enchanté...;)

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  2. Vous n'êtes pas à un paradoxe près...

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    1. surement, mais avouez que ce quantique est presque "religieux"...

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    2. Peut-être...
      J'observe, pour ma part, que si Shrödinguer s'escrime avec l'hypothétique de la pensée, vous prouvez, par des Lois avérées, la réalité des corps...

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    3. J'avoue que les jolis corps célestes m'inspirent !
      J'aime la chasse à courre au son du corps...

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    4. Vous sonnez l'hallali...
      Je tremble, je...

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    5. Faites un petit hourvari, ça marche bien... ;)

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    6. Je n'en ai nullement l'intention...

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  3. En même temps, la superposition du mouillé sur le sec ben... c'est mouillé non ? (Désolée, la physique n'a jamais été mon point fort).
    Et puis sincèrement, c'est quand même plus sexy d'être une étoile,surtout filante qu'une chatte martyrisée dans une boîte.

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    1. Vous, vous êtes plutôt du type à coucher avec Descartes ! :p
      J'avoue qu'on ne peut rien redire à votre démonstration et pourtant, j'ai cherché...
      Ceci dit, derrière toute vérité, il y a un petit mensonge qui s'ignore.
      Est-ce qu'une goutte suffirait à mouiller le grand désert blanc, hmmmm? :p

      Quant à l'étoile filante, rien à redire pourvu qu'elle reste un peu...

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    2. et parfois c'est mouillé sur sec et ça ne se voit pas ou ne se sent pas.
      Imaginons que vous lui ayez mis un objet ( disons un oeuf vibrant) dans un orifice ou un bâillon dans un autre orifice ( je m'y perds avec tous ces trous noirs) . Au premier abord ça pourrait sembler sec alors qu'en deuxième plan ( ou arrière plan je ne sais plus) , il se prépare un déferlement de fluide.
      Ah la recherche, un éternel recommencement où nos certitudes sont sans cesse remis en cause .

      j'aime beaucoup le " discrêtement à 4 pattes jusqu'au bar" !

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    3. C'est vrai que certains accessoires peuvent jouer sur la perception de ce qui se passe.
      Comme vous avez raison !
      Il faut bien faire le distingo entre la perception et le jugement.
      Si on ne peut nier l'existence et donc la réalité de la première, le deuxième s'il s'avère défectueux peut nous échouer sur les récifs de l'impénétrabilité !

      Le "discrêtement à 4 pattes jusqu'au bar" est surement une notion qui prend une puissance maximale d'évocation quand on l'expérimente.
      "le plus discrètement possible", aurait été plus juste, c'est vrai. :p


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    4. Je peux poser deux questions au sujet de la photo ?

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    5. Mais vous pouvez tout faire ici, même montrer vos fesses, mon p'tit... :p

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    6. Alors :)
      1. C'est quoi qui fait ces zèbrures ? Ces tâches ?
      2. On dirait un poids... C est un poids ou une clochette ? Quand je regarde cette photo j ai la sensation de poids !
      3. C est une de vos photos ?

      Merci :)

      Mes fesses ? Mais??? Vous demandez souvent des choses si improbables !!??

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    7. 1. c'est une badine qui zèbre ainsi les fesses!
      2. ce n'est pas un poids, c'est une clochette; le rosebud et la clochette en question...
      Un poids accroché à un rosebud, ce serait contre productif !
      Quant à l'accrocher à un joli sexe rose, je trouve cela aussi érotique qu'une enclume accrochée à un coquelicot c'est à dire, fully disgusting !
      3. Oui, cette photo est de moi, elle vous plait?

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    8. Vous me rassurez !!
      Je ne comprenais pas le principe du poids dans ce cas.
      Oui elle est... Troublante. Le regard reste fixé. impossible de se détacher les yeux de la photo.
      :)

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  4. Bonsoir,

    Pour moi le quantique c'est quand l'observation elle même détruit l'expérience parce que elle en change le résultat .. Ou pas.

    Là.. La semble approche de vos doigts à fait effet.

    Surprenez la, la prochaine fois. Ou bandez lui les yeux pour qu'un autre se charge de vois relater cet état de mouillée ou pas ...

    Le chat de Schrödinguer était compliqué. La chatte de la mère Michelle était simple. Un seul état à la fois. Perdu ou retrouvé.

    Ed

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    1. Oui, c'est un peu tout l'esprit de cet univers quantique... l'observation qui créée...
      Et je vois que vous partagez aussi ce paradoxe.

      C'est un peut comme quand on dit: "vérifie si tu mouilles, ma poupée. Tout de suite et maintenant !"
      Elle vérifie et badaboum... elle mouille.
      Est-ce le fait d'avoir obéi en vérifiant qui est la cause de cet état ou cet état préexistait-il juste avant...?

      je me garderais bien de toucher à la chatte de la mère Michelle, en ce qui me concerne. ;)

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  5. Pour ma part j'ai du coucher avec Maximilien Rosenberg de la Frette de Losoir qui m'inspire autant que ce billet quantique (ne chercher pas sur Google...il n'existe pas...ou alors, dans un monde parallèle en train de me fouetter allègrement pour insolence aggravée et réitérée) .

    Je vous en veux de m'avoir fait creuser les rides du Lion de manière indéfroissable, pour un peu je vous mordrais. Laissez mes neurones au repos et postez votre photo de vous nu que mes petites rides creusées retrouvent leur bombance initiales!

    Non mais Ho!

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    1. Maximilien est un sacré manieur de badine !
      j'espère que dans ce monde parallèle, il vous en a mis une belle et qu'il vous a envoyé au coin, avant de vous consoler en vous disant que c'était pour votre bien...

      Creuser les rides du Lion? c'est plutot les reins de la gazelle que j'aime creuser moi, en allant m'abreuver à la source de son delta ! ;)

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  6. Oui...il a fait tout cela. Moi sur ses genoux, reniflante encore de son courroux passé...lui avec ses mots dans mon oreille (car il peut avoir aussi la voix douce et chaude) changeant mon humeur chagrine contre des envies coquines.(c'est qu'il sait y faire Max!)

    Autant vous dire que dans ce monde parallèle tout est parfait...qu'il est dur de s'en extraire!

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    1. Ah la voix, délicieusement enveloppante, un vrai cocoon étrange, quand elle murmure ce que l'on pensait indicible...

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  7. Il y a quantiqué de choses bizarres dans ce monde, mais à lire ce texte, j'ai quand tiqué un peu et surtout avalé quatre cachets d'aspirine sans alcool (c'est plutôt rare, merci M. Méchant) Donc si j'ai bien compris, la radio activité est plus dangereuse que la radio RMC (je prends celle là au hasard, mais ce n'est pas forcement la pire) Pourtant, je n'aurais pas cru.... Mais bon à quatre pattes pour aller au bar, je n'ai pas besoin de collier, juste quelques verres bien tassés. Non je ne mouille pas encore, peut-être quand je serai plus vieux qu'aujourd'hui, mais pas encore demain... Tiens avec le champagne, je goûte parfois des boudoirs, mais jamais troglodytes, faudra que j'essaye. Sacré M. Méchant, mine de rien (ça va bien avec "troglodyte") Vous faites des heureuses, bordel pourquoi je suis un mec !

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    1. Auriez vous des envies de traversée? tenu au bout d'une longe qui relierait ce que vous avez de plus fragile... ;)
      Connaitre le paradoxe de cette infinie liberté qui nait de ce fil d'Ariane qui vous relie à ses exigences, source de vos envies ... ;)

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