jeudi 18 décembre 2014

We can be Heroes



Je vous doucherai à votre arrivée, à quatre pattes dans la baignoire, en prenant soin de savonner abondamment les parties les plus intimes de votre corps.
Dès ce moment, vous serez silencieuse, aucun mot ne doit sortir de votre bouche jusqu'au lendemain où vous me quitterez.
Après avoir été séchée, à quatre pattes sur le tapis, je vérifierai votre épilation en prenant soin d'en parfaire la qualité à l'aide d'une pince à épiler.
Soyez impeccable, ne me faites pas perdre mon temps comme le ferait une petite souillon avec ses résidus pileux.
Je passerai ensuite, sur votre corps, un lait parfumé, que j'étalerai sur vos seins, votre cul, vos cuisses sans qu'un millimètre de votre peau n'en soit orphelin.
Quand vous serez prête et 'lustrée', je vous ferai enfiler un body intégral qui vous couvrira des épaules jusqu'aux bouts des pieds.
La fine maille transparente et noire de ce body sera découpée au niveau de votre sexe ainsi que de l'anneau de vos fesses, vous rendant parfaitement accessible et disponible.
Vos seins aussi seront libres, déballés à travers deux ouvertures ajustées pour cela.

Vos mains vous seront interdites. Vos doigts seront joints, tout comme vos pouces seront solidaires de la paume de vos mains, pour vous rappeler à chaque instant cette interdiction.
Je vous coifferai avec une brosse et domestiquerai vos cheveux en une queue de cheval soignée que je pourrai empoigner à loisir s'il me vient l'envie de vous punir.
Je passerai un rouge ostentatoire sur vos lèvres et colorerai les aréoles de vos seins du même pigment coloré.

Votre collier en cuir cerclera votre cou, son médaillon gravé de votre nom s'y balancera à coté du petit grelot qui me mouchardera vos déplacements.
Et pour parfaire votre préparation, je placerai dans l'anneau de votre cul servile, une jolie queue fixée au bout d'un rosebud.

Quand vous serez prête, nous irons ensemble dans ce lieu bien particulier où je vous ferai poser, immobile et silencieuse,  à quatre pattes sur une table basse.
Plus tard, nous montrerons à tous ces gens ce que je vous ai appris à faire....

Ah, j'oubliais, je placerai en évidence sur votre nuque ce code barre, pour bien marquer votre appartenance, j'ai une sainte horreur qu'on touche à mes jouets sans mon autorisation....






dimanche 7 décembre 2014

L'Effet Papillon du Big Bad Wolf

Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y était...

Dans la chambre de cet hôtel de luxe, elle est attachée, les yeux bandés, nue sur ce bureau en bois.
Son torse est plaqué contre le plateau, contraint par un ruban extensible enroulé sur plusieurs tours autour de sa taille et du bureau.
Chacune de ses jambes est solidaire d’un pied du bureau, elle ne peut pas bouger, sa croupe et son sexe sont offerts, accessibles et disponibles.
Son cul est brulant, zébré par les morsures du martinet que je tiens à la main like a big bad wolf.
J’écarte ses fesses, dévoile son œillet et, en m’approchant de son oreille, je lui murmure :
« Mademoiselle vous êtes à moi, toute en mon pouvoir, je viens de choisir un nombre, vous allez compter doucement à voix haute et quand vous aurez atteint ce nombre, je vous sodomiserai parce que je l’ai décidé ainsi ».
En prononçant ces mots je glisse la main dans ma poche pour en retirer le précieux préservatif, complice de ma larcin à venir.
Et là ! je réalise que j’ai oublié les préservatifs dans la voiture garée sur le parking.

           Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y était...

Après une analyse froide de la situation, je lui dis de continuer de compter et je me dirige à pas de loup vers la porte de la chambre qui se referme derrière moi pendant que je m’éloigne dans le couloir en entendant sa voix : « 39, 40, 41 »

Au bout du couloir, je croise une petite vieille qui me regarde à peine tellement elle fixe ma main droite.
Je réalise alors que je tiens toujours le martinet et, pour sauver les apparence, je lui lance poliment avec un air concerné : « Vous n’auriez pas vu un gros chien vraiment désobéissant, Madame ? »  (Un grand méchant loup sait gérer ces situations embarrassantes and I’m a big bad wolf).
La mémé me répond que non pendant que je m’éloigne vers les escaliers en faisant mine de chercher le cabot.
Dans les escaliers, j’enfonce aux forceps le martinet dans mon pantalon et franchis les dernières marches qui me séparent du grand hall en claudiquant pour éviter de désintégrer une de mes testicules qui est tassée contre le manche.
En bas, je fais un large sourire à la petite réceptionniste qui me regarde traverser le hall avec un air carnassier malgré cette démarche un peu ridicule qui trahit que je suis à l’étroit dans mon pantalon.

Je file vers le parking en direction de ma voiture où m’attend la précieuse boite de condoms.
Au moment d’ouvrir la portière, je réalise que, merdemerdemerde ! j’ai laissé les clés de la voiture dans la chambre !  En foutant un coup de pied magistral dans le pneu de ma caisse, je repars en direction du hall que je retraverse en tentant d’arborer le sourire décontracté du big bad wolf à l’intention de la réceptionniste qui me sourit en retour.

Je reprends les escalier en sens inverse en prenant soins d’éviter l'explosion de mes testicules de canis lupus et me redirige à la hâte vers ma chambre.
Là, j’entends à l’intérieur une voix qui compte ; « 219, 220, 221 »
Je tourne la poignée mais dans vide. P’tain ! rugnudjuuuudebordeldemerde !  la clé !
J’ai laissé cette p’tain de clé magnétique à l’intérieur de la chambre.

J’entends une voix dans la chambre qui dit: « c’est vous Maître ?».  J’ai peur qu’elle panique alors je tente de la rassurer à travers la porte. Je lui réponds en essayant de rester discret que c’est bien moi, que je vérifiais juste qu’elle comptait toujours et que je vais bientôt rentrer.

Et je repars vers les escaliers avec ce maudit martinet qui me mâchouille l’entrecuisse.
Je les dévale avec difficulté et en arrivant en bas, la couture intérieure de mon pantalon craque avec un son sec en exhibant le bout du manche du martinet.
Je respire trois fois et je rejoins le comptoir de la réceptionniste en maintenant discrètement le martinet avec la main droite pour éviter que le trou dans mon pantalon ne s’agrandisse.
Sophie, c’est le nom que je lis sur le badge, est en train de parler avec la mémé que j’ai croisée à l’étage tout à l’heure et qui me dévisage bizarrement.
J’explique à Sophie ma déconvenue, elle me fait une autre clé magnétique et je file comme un lavement à travers le hall vers les escaliers.

Promenons-nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y était..

Quand j’entre dans la chambre, elle en est à 465, j’enlève tout de suite cette saloperie de martinet pour désentraver ce qui me reste de testicules. Je lui dis que c’est bien, qu’elle est très très sage. J’attrape discrètement les clés de la voiture dans la poche de ma veste, je pose une main sur son sexe, c’est bon, elle mouille toujours ! Je lui dis que je reviens de suite et refranchis la porte en direction des escaliers alors qu’elle attaque les 500.

En bas, je repasse devant Sophie avec le sourire du big bad wolf qu’elle commence à connaître et, en arrivant sur le perron, je détale vers ma voiture pour récupérer cette satanée boite de préservatifs !!!!
En retraversant le hall avec mon trophée dans la main droite, je me sens tellement immortel que je l’agite en l’air en faisant un clin d’oeil à Sophie.
Je reprends les escaliers quatre à quatre et j’arrive devant la porte de la chambre, j’entends: 887, 888, 889.
J’ouvre la porte. « C’est vous Maître ? » dit-elle avec un air inquiet.
Je luis réponds que c’est moi, en m’approchant lentement comme un violeur des bois.

« c'est un peu long, vous avez choisi quel nombre pour m’enculer, Maître ? »  Je la sens un peu perturbée et dubitative. En constatant mon érection défaillante, je réalise que je suis moi-même un peu contrarié.
Je lui réponds que le fameux nombre est pour bientôt alors qu’elle est sur le point d'attaquer son premier millier.
Après une nouvelle analyse froide de la situation, je surmonte mon dépit et j’attrape le martinet comme s'il était un Saint Graal au bout de la planche de mon salut. En soupirant, j’entreprends alors de dérouler le préservatif le long du manche.

Et, au moment où je pointe ce spectre encapuchonné sur l’œillet de ma prisonnière, une sonnerie stridente me fait sursauter. C’est le téléphone.
J’attrape le combiné sur la table de chevet. C’est la réceptionniste, elle me dit qu’elle a eu une réclamation d’une vieille dame et que les chiens sont strictement interdits dans l’hôtel. J’essaye de lui expliquer que c’est un terrible malentendu mais elle me répond qu’elle est désolée, qu’elle fait juste son travail, que son patron est en train de monter pour me voir dans ma chambre et elle raccroche.

Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas. Si le loup y était...

Au moment où les trois coups résonnent sur le porte, je m'assois lentement sur le lit, elle en est à 1129. J'ai le combiné dans la main droite et dans la main gauche, je tiens le martinet sur le manche duquel se balance un préservatif, la fille me demande si elle doit toujours continuer à compter. 

J'ai un p'tit coup de mou, là. Je repartirais bien dans ma forêt chérie.
Si c'est les chasseurs qui viennent de frapper à la porte, je leur dirai simplement que tout va très bien et que je veux manger personne... like a big bad wolf.